Je pourrais simplement dire, et c'est ce que je vais faire puisque d'une part je répugne à en dévoiler trop sur les histoires dont je parle, et d'autre part car l'auteur - J uan G ómez- J urado - demande dans chacun des romans de la trilogie, la plus grande discrétion : Une dernière faveur : ne révélez jamais la fin de ce livre, à quiconque ou sur les réseaux sociaux. Si vous rédigez une critique en ligne (merci !), ne dites rien, pas même en indiquant qu’il s’agit d’un spoiler, car tout le monde pourrait le lire et cela gâcherait l’effet de surprise. En suivant ce tutoriel vous serez capable de réaliser un cadre similaire pour votre blog... Or donc, « Reine rouge », « Louve noire » et « Roi Blanc » sont trois romans qui forment un tout, à lire impérativement dans l'ordre ( J uan G ómez- J urado parle même d'une pentalogie, puisque qu'il y intègre deux romans antérieurs et non traduits : El Paciente & Cicatriz ) ; cette trilogie disais-je
C'est l'annonce du film Les Derniers hommes de D avid Œ lhoffen qui m'a aiguillé vers le roman d' A lain G andy, intitulé « Les Chiens jaunes 1991 », dont il est une (très) libre adaptation. Un projet cinématographique porté par J acques P erin, le dernier avant qu'il ne décède. Et qui boucle la boucle, si je puis dire, puisque sa carrière avait commencé en 1965, dans le célèbre film de P ierre S choendoerffer La 317e section . « Connais-tu une troupe où chacun choisit de faire ce qu'il veut au lieu d'obéir aux ordres du chef. » Adjudant Janicek D avid Œ lhoffen a donc travaillé à partir des idées de J acques P errin, qui au départ voulait faire un film en forme de flashback , où il aurait été question d'une identité usurpée et de la marche forcée d'une troupe de légionnaires, inspirée par la colonne A lessandri, cherchant à rallier la Chine au moment du coup de force japonais du 9 mars 1945 en Indochine . Les péripéti