Je suis en plein dans le mandat 2019-2022 que le scénariste J ed M ac K ay a rempli pour la série « Black Cat » et c'est un vrai banger ! L'épisode n°12, où j'en suis pour l'instant arrivé, synthétise, à mon avis, la démarche professionnelle du Canadien. Au début de ladite série, la célèbre cambrioleuse Black Cat , est recontactée par son ancien mentor, Black Fox , qui la met sur un coup qu'elle ne peut pas refuser. À partir de là, pratiquement chaque épisode s'attache à mettre en scène la récupération d'un artefact - indispensable à la réalisation dudit coup, toujours dans des endroits improbables : le QG des FF , le Sanctum Sanctorum du Dr. Strange , où comme ici, dans les numéros 11 & 12 donc ; au cœur même des entreprises Stark™. Je disais donc, que ces 2 épisodes sont, d'une certaine façon, une histoire témoin, résumant le talent que J ed M ac K ay met en œuvre dans cette sé...
Contrairement à ses prédécesseurs ( B oorman, F lemyng, H elgeland - pour n'en citer que quelques-uns), S hane B lack n'adapte pas un roman de Richard Stark (Alias D onald W estlake), mais pioche dans l'ensemble du corpus des presque 30 romans que le natif de Brooklyn consacra à Parker . À noter que c'est seulement la seconde fois qu'une histoire originale met en scène Parker . « Play Dirty » a en effet été précédé (de peu) par l'histoire courte de 17 pages intitulée Tomorrow and Tomorrow and Tomorrow écrite par E d B rubaker et dessinée par S ean P hillips ; dans laquelle Parker fait aussi équipe avec Alan Grofield , comme chez B lack. Mais revenons à « Play Dirty » Si S hane B lack imagine une histoire originale, il garde toutefois la formule que W estlake utilisera quasiment tout au long des 26 romans - publiés de 1962 à...