Après avoir pris une revanches sur les progressistes qui lui ont causé des problèmes, et avoir constitué une équipe réduite autour de lui [Pour en savoir +], Braxton Knox offre ses services à quiconque à maille à partir avec les « social justice warriors ».
Sa première mission en tant que « justicier » l'envoie à Indianapolis.
Il est bien entendu accompagné de Ronin dont les connaissances en informatique lui sont d'un grand secours, de Faye Weldon la courageuse journaliste et bien sûr de Themis, son précieux Accuracy International AXSR©.
Jason Higby a été victime de harcèlement en ligne au point de perdre son commerce de bonbons, et sa famille l'a quitté.
Tout a démarré avec la commande d'une confiserie en forme de pénis, qu'il a refusé d’honorer (sic), s'en est suivi un déferlement d'accusations « en ligne » d'homophobie, de transphobie.
Bref, la cage aux phobes s'est largement ouverte pour lui tomber dessus.
Braxton et son équipe, qui considère ce genre de représailles comme du terrorisme, vont donc prendre l'affaire en main, si je puis dire.
« Social justice warriors like me are vital in a society. We root out the disruptive elements. We’re ushering in a new era, one with the values we know are right. »
L'entreprise punitive est heureusement carjackée par des liens familiaux qui mettent en travers de la route de Braxton un binôme avec qui - dans d'autres circonstances - il aurait pu prendre une bière (mais pas une Bud Light™).
Ce qui permet de creuser la personnalité de nos héros, et de corser un peu l'intrigue. Car, comme chacun sait, 𝑎𝑔𝑒𝑟𝑒 𝑠𝑒𝑞𝑢𝑖𝑡𝑢𝑟 𝑒𝑠𝑠𝑒 ! <sourire>
Et ce n'est pas avec un Tanguy™ élevé au soja qu'on aurait été rassasié !
En définitive et pour conclure, même si la réalité offre (malheureusement) toute la matière première nécessaire aux interventions musclées de Braxton Knox, celui-ci est un pur produit de divertissement comme seule la culture de masse peut en produire [Pour en savoir +].
Et sur ce terrain « Social Street Justice 101 » fait honneur à son héritage.
Un bon moment de délassement cathartique.
Vivement la suite !
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