... Si dans un premier temps la Justice League Elite se confronte à quelque chose d'ordinaire, du moins à l'échelle d'un groupe de super-héros travaillant sous couverture face à des tueurs sanguinaires, la suite de leurs aventures va les amener aux confins de l'univers.
Fort heureusement le scénario a l'appui d'une équipe artistique aussi à l'aise dans la représentation de moments intimes que dans le grandiose, voire l’innommable.
En outre Joe Kelly fait feu de tout bois en donnant des moyens de transport peu conventionnels à nos héros, et en proposant des enjeux qui font rapidement oublier la soupe du quotidien dont on doit se contenter bien souvent.
D'autre part la mission est bien entendu parasitée par des sentiments terre-à-terre qui donnent une épaisseur psychologique à nos protagonistes, mais pas la même épaisseur ni la même stabilité pour chacun.
D'ailleurs l'intimité des personnages aura des répercussions sur le déroulement, voire le dénouement de cette maxi-série.
Je fais un petit aparté ; contrairement à d'aucuns j'avais envisagé la série de Jack Kirby The New Gods sous un angle non pas nordique, autrement dit The New Gods serait la suite de la série Thor après le Ragnarök mais d'un point de vue américain. Et la présence du Black Racer dans un moment bien particulier de l'aventure de la JLE me fait dire que cette hypothèse que j'avais formulée a aussi germé dans l'esprit de Joe Kelly. Inukchuk !
Ceci étant dit, les 12 numéros de la Justice League Elite valent vraiment le coup, les derniers numéros sont une véritable apothéose qui se transforme cependant en regret : celui de ne pas voir se poursuivre les aventures de ce groupe au delà de la maxi-série.
Reste douze numéros d'une aventure de très grande qualité, peuplée de personnages attachants, une maxi-série dont je sais déjà que je la relirai.
Sans compter que je vais m'intéresser au passage de Kelly sur la JLA, avec d'autant plus de motivation que je sais que j'y retrouverai Manitou Raven un personnage qui m’intéresse beaucoup.
Kemo sabe !
En outre Joe Kelly fait feu de tout bois en donnant des moyens de transport peu conventionnels à nos héros, et en proposant des enjeux qui font rapidement oublier la soupe du quotidien dont on doit se contenter bien souvent.
Justice League Elite #8 |
D'ailleurs l'intimité des personnages aura des répercussions sur le déroulement, voire le dénouement de cette maxi-série.
Manitou Raven |
Ceci étant dit, les 12 numéros de la Justice League Elite valent vraiment le coup, les derniers numéros sont une véritable apothéose qui se transforme cependant en regret : celui de ne pas voir se poursuivre les aventures de ce groupe au delà de la maxi-série.
Reste douze numéros d'une aventure de très grande qualité, peuplée de personnages attachants, une maxi-série dont je sais déjà que je la relirai.
Sans compter que je vais m'intéresser au passage de Kelly sur la JLA, avec d'autant plus de motivation que je sais que j'y retrouverai Manitou Raven un personnage qui m’intéresse beaucoup.
Kemo sabe !
ça donne envie
RépondreSupprimerTant mieux [-_ô].
SupprimerJe l'avais lu en mensuel, à l'époque. Et je trouvais ça un peu lent. Peut-être effectivement que ça mériterait une relecture "en un coup". En tout cas, Manitou Raven est un personnage intéressant, tu as raison.
RépondreSupprimerOui, je l'ai lu d'un bloc, et sur moi ça a vraiment bien marché.
SupprimerSympa de passer par ici.
En effet, va falloir que je relise ça. J'en gardais un souvenir plutôt mitigé... comme souvent dans les bandes signées Joe Kelly.
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