Je dois confesser que ce qui m'a donné envie de lire le roman de Simon Liberati, tenait en la promesse d'en apprendre un peu plus sur Anton LaVey.
Non pas que le fondateur de « L'Église de Satan » soit sous le boisseau d'une omerta, mais j'aime bien prendre des chemins de traverse. Comme celui qui a fait se croiser un 19 octobre Jayne Mansfield et le gourou du 6114, California Street à San Francisco.
Avec ce court roman de moins de 200 pages, et son parti pris minimaliste, Simon Liberati trace le fascinant portrait d'une « it-girl » courageuse, et bien plus intelligentequ'on pourrait que je pouvais le croire. Sans pour autant cacher son côté sombre et jusqu'au-boutiste.
Lieu commun s'il en est, Liberati offre également l'instantané d'une époque, celui du Vieil Hollywood©™, en voie de disparition.
Jayne Mansfield 1967 est d'abord et avant tout un roman, et l'auteur ne ménage pas sa peine.
Dans un style direct et d'une simplicité qui n'est pas si facile à acquérir si j'en crois mon expérience de lecteur, ces presque 200 pages nous plongent cependant dans un récit dont on oublie dès les premières pages qu'on n'en est pas le témoin direct.
Difficile je pense, de faire plus immersif.
Non pas que le fondateur de « L'Église de Satan » soit sous le boisseau d'une omerta, mais j'aime bien prendre des chemins de traverse. Comme celui qui a fait se croiser un 19 octobre Jayne Mansfield et le gourou du 6114, California Street à San Francisco.
Avec ce court roman de moins de 200 pages, et son parti pris minimaliste, Simon Liberati trace le fascinant portrait d'une « it-girl » courageuse, et bien plus intelligente
Lieu commun s'il en est, Liberati offre également l'instantané d'une époque, celui du Vieil Hollywood©™, en voie de disparition.
Jayne Mansfield 1967 est d'abord et avant tout un roman, et l'auteur ne ménage pas sa peine.
Dans un style direct et d'une simplicité qui n'est pas si facile à acquérir si j'en crois mon expérience de lecteur, ces presque 200 pages nous plongent cependant dans un récit dont on oublie dès les premières pages qu'on n'en est pas le témoin direct.
Difficile je pense, de faire plus immersif.
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