« Juste Cause 1995 » est un film qui cache admirablement son jeu. Paul Armstrong , professeur à l'université de Harvard (MA), est abordé par une vieille dame qui lui remet une lettre. Elle vient de la part de son petit-fils, Bobby Earl , accusé du meurtre d'une enfant de 11 ans, et qui attend dans le « couloir de la mort » en Floride . Ce dernier sollicite l'aide du professeur, un farouche opposant à la peine capitale. Dès le départ, « Juste Cause 1995 » joue sur les contradictions. Ainsi, Tanny Brown , « le pire flic anti-noir des Everglades », dixit la grand-mère de Bobby Earl , à l'origine de l'arrestation, est lui-même un africain-américain. Ceci étant, tout le film jouera à remettre en cause certains a priori , tout en déconstruisant ce que semblait proposer l'incipit du film d' A rne G limcher. La déconstruction en question est ici à entendre en tant que la mise en scène des contradictions de situations ...
ça a été publié chez Panini, non? Tu aurais le numéro et le titre de la revue dans laquelle on trouve cette histoire?
RépondreSupprimerSalut amigo, c'est paru dans le Wizard n° 10 du mois de mars 2003.
SupprimerAh, c'est un scantrad? Zut, je pensais qu'il y avait eu une VF officielle. Merci de proposer ça, c'est sympa.
SupprimerJ'ai dit une bêtise, il suffisait de regarder la page des crédits de la première partie.
SupprimerOui pardon, le Wizard dans sa version française éditée par Panini.
Supprimercurieux il me semblait que c' etait plus récent ça n' aurait pas été réédité en français plus récemment ?
RépondreSupprimerAucune idée.
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