« Juste Cause 1995 » est un film qui cache admirablement son jeu. Paul Armstrong , professeur à l'université de Harvard (MA), est abordé par une vieille dame qui lui remet une lettre. Elle vient de la part de son petit-fils, Bobby Earl , accusé du meurtre d'une enfant de 11 ans, et qui attend dans le « couloir de la mort » en Floride . Ce dernier sollicite l'aide du professeur, un farouche opposant à la peine capitale. Dès le départ, « Juste Cause 1995 » joue sur les contradictions. Ainsi, Tanny Brown , « le pire flic anti-noir des Everglades », dixit la grand-mère de Bobby Earl , à l'origine de l'arrestation, est lui-même un africain-américain. Ceci étant, tout le film jouera à remettre en cause certains a priori , tout en déconstruisant ce que semblait proposer l'incipit du film d' A rne G limcher. La déconstruction en question est ici à entendre en tant que la mise en scène des contradictions de situations ...
Bonne année compadre et une bonne santé.
RépondreSupprimerMeilleurs voeux, Maître Dada ! ^^
RépondreSupprimerBonne Année, Mister Dada,
RépondreSupprimeret la santé qui va bien avec !
Et dis au chien de SuperMatou que je partage sa philosophie.
Peace !
:^)
Meilleurs voeux, Artie !! Excellente année 2016.
RépondreSupprimerEt que l'inspiration ne vienne à te manquer pour tes billets toujours aussi passionnants, éclectiques et originaux...
Merci à vous les aminches, et meilleurs vœux pour l'année qui vient.
RépondreSupprimerSalut Kamarade, je te souhaite surtout la santé dans un premier temps, puis plein de sagesse...
RépondreSupprimerBonne continuation au singe clopeur!!!
N'année Arty ! Et bonne santé surtout. ;)
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