••• « The Beauty » dont le sous-titre « Contamination » est tout un programme, faut à exploiter l'idée -pourtant excellente- sur laquelle son scénario repose.
Dans ce premier recueil, commercialisé dans l'Hexagone par les éditions Glénat, et qui propose les numéros 1 à 6 de l'édition américaine (qui en est à son vingt-deuxième numéro), tout ce qui aurait dû faire le sel de ce récit est soit inexploité, soit mal exploité.
Je ne crois pas déflorer grand-chose en écrivant que The beauty repose sur une contamination (mondiale), d'un genre inédit. Passons sur l'aspect américano-centré de l'histoire ; mais quid des répercussions sur la vie de tous les jours des infectés ? À part quelques lieux communs attendus, Jeremy Haun & Jason Hurley n’entament rien de ce côté-ci, qui serait à la hauteur de leur prometteuse idée. Voire questionner l'idée même de « beauté » !
Au contraire, les deux scénaristes embrayent rapidement sur un thriller tout ce qu'il y a de plus attendu.
Qui, s'il n'est pas ennuyeux à lire, manque d'envergure, et pêche par un manque de crédibilité à force d'utiliser les mêmes vieilles ficelles du genre.
Lu grâce à un prêt, pas sûr que j'aurais été si magnanime, si j'avais dû dépenser 15,95 € pour l'achat de ce recueil.
••• Or donc, ce premier tome de The Beauty, traduit par Benjamin Rivière et lettré par Fred Urek, deux pierres angulaires de cette édition française, dont il faut pourtant chercher les noms dans un ours minuscule, m'a totalement vacciné pour la suite.
Avoir une si belle idée, et n'en rien faire ou presque, pendant plus de 140 pages est un beau tour de force. Mais de ceux dont je n'aime guère être la victime.
Et ce n'est pas la préface, signée Scott Snyder, qui soit dit en passant n'y parle que de lui, qui changera quelque chose à ce rendez-vous manqué.
Une bédé qu'on peut ne pas lire.
Dans ce premier recueil, commercialisé dans l'Hexagone par les éditions Glénat, et qui propose les numéros 1 à 6 de l'édition américaine (qui en est à son vingt-deuxième numéro), tout ce qui aurait dû faire le sel de ce récit est soit inexploité, soit mal exploité.
Je ne crois pas déflorer grand-chose en écrivant que The beauty repose sur une contamination (mondiale), d'un genre inédit. Passons sur l'aspect américano-centré de l'histoire ; mais quid des répercussions sur la vie de tous les jours des infectés ? À part quelques lieux communs attendus, Jeremy Haun & Jason Hurley n’entament rien de ce côté-ci, qui serait à la hauteur de leur prometteuse idée. Voire questionner l'idée même de « beauté » !
Au contraire, les deux scénaristes embrayent rapidement sur un thriller tout ce qu'il y a de plus attendu.
Qui, s'il n'est pas ennuyeux à lire, manque d'envergure, et pêche par un manque de crédibilité à force d'utiliser les mêmes vieilles ficelles du genre.
Lu grâce à un prêt, pas sûr que j'aurais été si magnanime, si j'avais dû dépenser 15,95 € pour l'achat de ce recueil.
••• Or donc, ce premier tome de The Beauty, traduit par Benjamin Rivière et lettré par Fred Urek, deux pierres angulaires de cette édition française, dont il faut pourtant chercher les noms dans un ours minuscule, m'a totalement vacciné pour la suite.
Avoir une si belle idée, et n'en rien faire ou presque, pendant plus de 140 pages est un beau tour de force. Mais de ceux dont je n'aime guère être la victime.
Et ce n'est pas la préface, signée Scott Snyder, qui soit dit en passant n'y parle que de lui, qui changera quelque chose à ce rendez-vous manqué.
Une bédé qu'on peut ne pas lire.
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