Accéder au contenu principal

The Sandman (alias Wesley Dodds)

par fishyfins
... Vers la fin des années 90, un éditeur français a tenté l'aventure de proposer des recueils de bandes dessinées constitués à partir du catalogue Vertigo (une première dans l'Hexagone), un label de l'éditeur DC Comics où le super-héros se faisait rare ....

Et y aura-t-il du sang ? J'aime à l'imaginer. Oui, je crois bien qu'il y aura du sang. Beaucoup de sang. Des quantités extraordinaires de sang."  
La promesse avait été faite dès la première page de The Anatomy Lesson (Saga of the Swamp Thing 21). Sans le savoir, Alan Moore venait de poser les premières bases de ce qui serait Vertigo. 
Patrick Marcel in SCARCE n°41  

LE TÉMÉRAIRE, puisque c'est le nom de cet éditeur a donc proposé le Preacher de Garth Ennis & Steve Dillon, le Sandman de Neil Gaiman, Les Invisibles de Grant Morrison, voire le Bloody Mary du label Helix (toujours DC Comics) etc....., et le Sandman de Matt Wagner.....



Pssttt:
https://rapidshare.com/files/2909300283/Tarentule.rar


Commentaires

  1. A l'époque, 96/97 de mémoire, ce fut une belle découverte, d'excellents moments de lecture, un frisson de voir enfin ces histoires publiés en v.f...Ce fut pour le premier temps !

    Dans un second temps, des délais de parution très longs entre les tomes, des séries qui rendaient accro (Preacher), des suites jamais publiées (Death, Bloody Mary), d'excellentes séries marquantes (les invisibles, ce Sandman Mystery theatre qui reste inégalé à ma connaissance) puis des déceptions avec l'arrêt de cet éditeur qui était pourtant avant-gardiste de quelques années !

    Le problème avec DC, c'est que la majorité du public de l'époque, gavé aux ineptes Gen13, Battle chaser, Shi et autres stupidités qui n'ont duré que deux ou trois saisons* ont retenu l'intérêt des productions DC dont le Strange version DC et ces séries Vertigo.

    Certes, nous étions à l'époque bien informé par Scarce qui avait parfaitement rempli son oeuvre de défrichement mais quand même, quel gâchis !

    En tout cas, la grande majorité de ses séries restent des pièces maitresses de ma collection et elles ne me semblent pas du tout datés !!!

    *J'ai une petite dent pour ces séries bas du front mais elles ont quand même eu l'immense mérite d'attirer des jeunes vers les comics puis, ceux qui sont restés en tout cas, ils ont pu évoluer pour se tourner plus tard vers ces belles productions...

    Bastien Ayala

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

Juste cause [Sean Connery / Laurence Fishburne / Ed Harris / Kate Capshaw]

« Juste Cause 1995 » est un film qui cache admirablement son jeu.             Paul Armstrong , professeur à l'université de Harvard (MA), est abordé par une vieille dame qui lui remet une lettre. Elle vient de la part de son petit-fils, Bobby Earl , accusé du meurtre d'une enfant de 11 ans, et qui attend dans le « couloir de la mort » en Floride . Ce dernier sollicite l'aide du professeur, un farouche opposant à la peine capitale.   Dès le départ, « Juste Cause 1995 » joue sur les contradictions. Ainsi, Tanny Brown , « le pire flic anti-noir des Everglades », dixit la grand-mère de Bobby Earl , à l'origine de l'arrestation, est lui-même un africain-américain. Ceci étant, tout le film jouera à remettre en cause certains a priori , tout en déconstruisant ce que semblait proposer l'incipit du film d' A rne G limcher. La déconstruction en question est ici à entendre en tant que la mise en scène des contradictions de situations dont l'évidence paraît pour

The Words

... The Words ( Les Mots ) est un film qui avait tout pour me séduire : le roman en tant qu'élément principal, des acteurs que j'aime bien ; D ennis Q uaid, J eremy I rons, J . K . S immons et B radley C ooper. Éléments supplémentaire l'histoire se révèle être une histoire dans l'hisitoire. Ou plus exactement un roman à propos de l'écriture d'un roman, écrit par un autre ; entre fiction et réalité.  Je m'explique. Clay Hammon fait une lecture public de son dernier livre The Words dans lequel un jeune auteur, Rory Jansen , en mal de reconnaissance tente vaille que vaille de placer son roman chez différents éditeurs. Cet homme vit avec une très belle jeune femme et il est entouré d'une famille aimante. Finalement il va se construire une vie somme toute agréable mais loin de ce qu'il envisageait. Au cours de sa lune de miel, à Paris , son épouse va lui offrir une vieille serviette en cuir découverte chez un antiquaire, pour dit-elle qu'

Nebula-9 : The Final Frontier

... Nebula-9 est une série télévisée qui a connu une brève carrière télévisuelle. Annulée il y a dix ans après 12 épisodes loin de faire l'unanimité : un mélodrame bidon et un jeu d'acteurs sans vie entendait-on très souvent alors. Un destin un peu comparable à Firefly la série de J oss W hedon, sauf que cette dernière bénéficiait si mes souvenirs sont bons, de jugements plus louangeurs. Il n'en demeure pas moins que ces deux séries de science-fiction (parmi d'autres telle Farscape ) naviguaient dans le sillage ouvert par Star Trek dés les années 60 celui du space opera . Le space opera est un terme alors légèrement connoté en mauvaise part lorsqu'il est proposé, en 1941 par l'écrivain de science-fiction W ilson T ucker, pour une catégorie de récits de S-F nés sous les couvertures bariolées des pulps des années 30. Les pulps dont l'une des particularités était la périodicité ce qui allait entraîner "une capacité de tradition" ( M ich