Deuxième incursion de l'auteur Ray Nayler en francophonie, après Père [Pour en savoir +], déjà traduit par Henry-Luc Planchat, déjà pour la revue BIFROST.
Et comme pour sa précédente nouvelle, Ray Nayler s'empare d'une panoplie bien connue de ce quadrant de l'Imaginaire, et donc maintes fois enfilée. Usée jusqu'à la corde (et pas qu'en théorie), rangées depuis longtemps au magasin des accessoires de la quincaillerie Sf.
En cela Ray Nayler me rappelle Michael Marshall Smith, lui aussi capable de prendre le stéréotype le plus rebattu, le poncif le moins susceptible d'éveiller l’intérêt et d'en faire une histoire jamais lue ailleurs.
Pour le coup Ray Nayler tente un joli (mais dangereux) quitte ou double, en pariant sur la « chute » de sa nouvelle.
Pari largement gagné en ce qui me concerne,
« Sarcophage » est encore plus réussie que Père.
Commentaires
Enregistrer un commentaire