« Willie le zinzin », publiée en avant-première mondiale - excusez du peu - dans la 104eme livraison de la revue BIFROST, est une courte nouvelle d'atmosphère très très réussie. Traduite par Pierre-Paul Durastanti (un gage de qualité), elle est en outre illustrée par le talentueux Nicolas Fructus.
En quelques pages seulement, presque un tour de force pour le prolixe auteur, Stephen King s'ingénie à brouiller les pistes de son récit pour une chute qui, si elle ne sera pas originale pour qui côtoie la littérature de (mauvais) genre, n'en est pas moins saisissante. Brrrillant !
Les éditions Le Bélial'™ n'en sont cependant pas à leur coup d'essai concernant l'auteur américain.
Si mes souvenirs sont bons, la maison d'édition sise sur les bords de la Seine, à Saint-Mammès, a déjà publié dans sa revue trimestrielle deux nouvelles alors inédites en français : La nuit du tigre, et Mauvaise herbe.
Rien moins que de très surprenant quand on sait qu'Olivier Girard, le rédacteur en chef de la revue, est un « immense admirateur du King ».
Ce qui visiblement ne l'empêche pas de prendre des risques comme le montre l'invité d'honneur de ce numéro :
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