... Le 21 mars 1963 tous les détenus ainsi que les gardiens de la célèbre prison d'Alcatraz disparaissent sans laisser de traces, officiellement les coûts élevés de la prison ainsi que sa vétusté ont poussé l'administration pénitentiaire à en fermer les portes. Les prisonniers ont été transférés dans d'autres pénitenciers afin de finir de purger leur peine.
Trente ans plus tard le matricule 2024 Jack Sylvane réapparaît ...
... Créé par J.J. Abrams par ailleurs créateur d'Alias et co-créateur d'une petite flopée de série télévisées (Lost, Fringe ou encore Undercover), réalisateur du troisième Mission : Impossible, du dernier Star Trek, de Super 8, bref Alacatraz sera surement qualifiée de "série évènement" ; reste que si Abrams ne m'a jamais emballé outre mesure (je n'ai jamais réussi à terminer Alias, Lost ou Fringe par exemple) le premier épisode de cette série est plutôt pas mal.
À suivre donc .....
Excellente série, les trois premier épisodes sont assez impressionnantes, la trame est bien faites.
RépondreSupprimerEn espèrent que la suite soi de même niveau.
C+
Merci de ton avis et de ton passage, amigo.
SupprimerEn fait Abrams n'est que producteur, il n'a en rien créé la série, tout comme " Persons of interest " à la rentrée. ;-)
RépondreSupprimerMerci de ton rectificatif (il est quand même producteur exécutif, une place très importante dans la direction que peut/doit prendre le "show").
Supprimermais alors fringe c' est lui ou pas ?
RépondreSupprimerOui, une co-création.
SupprimerAprès trois ou quatre épisodes, je suis toujours assez dubitatif sur cette série... L'univers se cherche encore et le "gros de Lost" est quand même sacrément caricaturale... Je continue malgré tout en espérant un "fringe effect", cad un véritable et passionnant début de série à partir de la deuxième saison !...
RépondreSupprimerPour ma part j'en ai vu deux, et en regardant le deuxième, je pensais à ce que disait Jean-Pierre Dionnet dans l'émission Mauvais Genres du 28 janvier où il dit qu'il ne connait pas la fin de sa série (en cours d'écriture) "Des Dieux et des hommes". Si ce genre de propos ne me rassure pas, je crois qu'il s'applique à bon nombre de séries télés : un pitch et vogue la galère, on verra bien ce qui arrivera. Ce qui fait qu'on maintient l'attention du téléspectateur avec des révélations chocs, le deuxième épisode est pas mal du tout sur ce point, mais finalement on ne sait pas où on va et ça va finir par se voir.
SupprimerAu contraire de Jean-Pierre Dionnet je pense qu'un récit a besoin d'avoir un début et une fin, et que c'est entre les deux que l'auteur se fait plaisir (en faisant plaisir au lecteur/spectateur). Reste qu'en chemin la fin peut changer, mais au moins l'auteur a une idée de l'endroit où il emmène son public.
Je ne veux pas dire que la fin doit être prévisible, bien au contraire.