Accéder au contenu principal

Dial H for H.E.R.O


En 1966 Dave Wood & Jim Mooney créent pour l'éditeur DC Comics un nouveau personnage : Robby Reed qui, grâce à un cadran de téléphone, pouvait se transformer en super-héros.
C'était l'époque ou des lettres étaient associées aux chiffres sur le cadran, et le jeune Reed devait composer le mot H-E-R-O pour se transformer.
Si le jeune personnage se voulait en phase avec son lectorat de jeunes lecteurs, l'innovation si je puis dire venait du fait que Robby Reed ne savait pas en quel super-héros il allait être transformé, jamais le même et sauf à une exception, jamais un super-héros de l'écurie de son éditeur.
En outre la transformation n'était pas permanente.

Ceci étant dit je vous propose de lire une aventure de Robby Reed paru dans Les Vengeurs n°19 (Arédit - 1987) adaptation de House of Mystery #161 (septembre 1966) :

Commentaires

  1. J'ai l'intégrale de cette première série dans un DC Showcase en noir et blanc. C'est un concept qui m'avait toujours bien plu dans les quelques épisodes lus dans ma jeunesse dans les pockets Aredit/Artima.
    Après lecture de l'intégrale (lecture très agréable d'ailleurs), j'ai pu comparer et voir que le "Sockamagee" emblématique de Robbie Reed a été traduit de différentes façons en français : sapristi, saperlotte, saperlipopette...bonnes trads, c'est moins répétitif, tout en gardant ce côté un peu naïf.

    Je n'ai pas encore lu les séries suivantes, mais ce que tu en dis dans tes autres billets me donne envie !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ah oui ! les traductions de "sockamagee", je n'avais pas pensé à m'intéresser à cet aspect.

      En tout cas merci de ton passage, et c'est sympa d'avoir pris le temps d'écrire un commentaire.

      [-_ô]

      Supprimer
  2. salut je découvre ton blog , des articles très sympa , H pour héro,j 'adorais quand j'étais gosse

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

Juste cause [Sean Connery / Laurence Fishburne / Ed Harris / Kate Capshaw]

« Juste Cause 1995 » est un film qui cache admirablement son jeu.             Paul Armstrong , professeur à l'université de Harvard (MA), est abordé par une vieille dame qui lui remet une lettre. Elle vient de la part de son petit-fils, Bobby Earl , accusé du meurtre d'une enfant de 11 ans, et qui attend dans le « couloir de la mort » en Floride . Ce dernier sollicite l'aide du professeur, un farouche opposant à la peine capitale.   Dès le départ, « Juste Cause 1995 » joue sur les contradictions. Ainsi, Tanny Brown , « le pire flic anti-noir des Everglades », dixit la grand-mère de Bobby Earl , à l'origine de l'arrestation, est lui-même un africain-américain. Ceci étant, tout le film jouera à remettre en cause certains a priori , tout en déconstruisant ce que semblait proposer l'incipit du film d' A rne G limcher. La déconstruction en question est ici à entendre en tant que la mise en scène des contradictions de situations dont l'évidence paraît pour

The Words

... The Words ( Les Mots ) est un film qui avait tout pour me séduire : le roman en tant qu'élément principal, des acteurs que j'aime bien ; D ennis Q uaid, J eremy I rons, J . K . S immons et B radley C ooper. Éléments supplémentaire l'histoire se révèle être une histoire dans l'hisitoire. Ou plus exactement un roman à propos de l'écriture d'un roman, écrit par un autre ; entre fiction et réalité.  Je m'explique. Clay Hammon fait une lecture public de son dernier livre The Words dans lequel un jeune auteur, Rory Jansen , en mal de reconnaissance tente vaille que vaille de placer son roman chez différents éditeurs. Cet homme vit avec une très belle jeune femme et il est entouré d'une famille aimante. Finalement il va se construire une vie somme toute agréable mais loin de ce qu'il envisageait. Au cours de sa lune de miel, à Paris , son épouse va lui offrir une vieille serviette en cuir découverte chez un antiquaire, pour dit-elle qu'

Nebula-9 : The Final Frontier

... Nebula-9 est une série télévisée qui a connu une brève carrière télévisuelle. Annulée il y a dix ans après 12 épisodes loin de faire l'unanimité : un mélodrame bidon et un jeu d'acteurs sans vie entendait-on très souvent alors. Un destin un peu comparable à Firefly la série de J oss W hedon, sauf que cette dernière bénéficiait si mes souvenirs sont bons, de jugements plus louangeurs. Il n'en demeure pas moins que ces deux séries de science-fiction (parmi d'autres telle Farscape ) naviguaient dans le sillage ouvert par Star Trek dés les années 60 celui du space opera . Le space opera est un terme alors légèrement connoté en mauvaise part lorsqu'il est proposé, en 1941 par l'écrivain de science-fiction W ilson T ucker, pour une catégorie de récits de S-F nés sous les couvertures bariolées des pulps des années 30. Les pulps dont l'une des particularités était la périodicité ce qui allait entraîner "une capacité de tradition" ( M ich