Tourné en 18 jours pour un budget de 450 000 $, le long-métrage d'Henry Dunham fait sienne l'idée, frappée au coin du bon sens, que même les paranoïaques ont des ennemis.
Grâce à un scénario aussi tordu qu'un tire-bouchon, et à une distribution de quasimodos emmenée par James Badge Dale, The Standoff at Sparrow Creek est un bel exemple de décroissance cinématographique. Loin des films blockbusterisés, ce thriller asphyxiant redonne ses lettres de noblesse à un cinéma étique, proche des souvent mésestimées « séries B » d'antan, qui faisaient la joie des doubles programmes.
À la manière d'un whodunit qui ne s’embarrasserait pas de bonnes manières The Standoff at Sparrow Creek a également la bonne idée de ne pas vouloir concurrencer les séries télévisées sur la durée.
Produit par Cinestate, tout comme les films de S. Craig Zahler : Bone Tomahawk ou Brawl in Cell Block 99, celui d'Henry Dunham ne l'aura pas été par hasard. The Standoff at Sparrow Creek est un film qui n'a pas à rougir d'être en si mauvaise compagnie.
Grâce à un scénario aussi tordu qu'un tire-bouchon, et à une distribution de quasimodos emmenée par James Badge Dale, The Standoff at Sparrow Creek est un bel exemple de décroissance cinématographique. Loin des films blockbusterisés, ce thriller asphyxiant redonne ses lettres de noblesse à un cinéma étique, proche des souvent mésestimées « séries B » d'antan, qui faisaient la joie des doubles programmes.
À la manière d'un whodunit qui ne s’embarrasserait pas de bonnes manières The Standoff at Sparrow Creek a également la bonne idée de ne pas vouloir concurrencer les séries télévisées sur la durée.
Produit par Cinestate, tout comme les films de S. Craig Zahler : Bone Tomahawk ou Brawl in Cell Block 99, celui d'Henry Dunham ne l'aura pas été par hasard. The Standoff at Sparrow Creek est un film qui n'a pas à rougir d'être en si mauvaise compagnie.
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