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Articles

Affichage des articles du octobre, 2025

Black Cat #11 & 12 [Jed MacKay / C.F. Villa / Brian Reber]

Je suis en plein dans le mandat 2019-2022 que le scénariste J ed M ac K ay a rempli pour la série « Black Cat » et c'est un vrai banger ! L'épisode n°12, où j'en suis pour l'instant arrivé, synthétise, à mon avis, la démarche professionnelle du Canadien.             Au début de ladite série, la célèbre cambrioleuse Black Cat , est recontactée par son ancien mentor, Black Fox , qui la met sur un coup qu'elle ne peut pas refuser. À partir de là, pratiquement chaque épisode s'attache à mettre en scène la récupération d'un artefact - indispensable à la réalisation dudit coup, toujours dans des endroits improbables : le QG des FF , le Sanctum Sanctorum du Dr. Strange , où comme ici, dans les numéros 11 & 12 donc ; au cœur même des entreprises Stark™.              Je disais donc, que ces 2 épisodes sont, d'une certaine façon, une histoire témoin, résumant le talent que  J ed  M ac K ay met en œuvre dans cette sé...

Play Dirty, un film de Shane Black

            Contrairement à ses prédécesseurs ( B oorman, F lemyng,  H elgeland - pour n'en citer que quelques-uns),  S hane B lack n'adapte pas un roman de Richard Stark (Alias D onald W estlake), mais pioche dans l'ensemble du corpus des presque 30 romans que le natif de Brooklyn consacra à Parker . À noter que c'est seulement la seconde fois qu'une histoire originale met en scène Parker .             « Play Dirty » a en effet été précédé (de peu) par l'histoire courte de 17 pages intitulée Tomorrow and Tomorrow and Tomorrow écrite par E d B rubaker et dessinée par S ean P hillips ; dans laquelle Parker fait aussi équipe avec Alan Grofield , comme chez B lack.   Mais revenons à « Play Dirty »               Si S hane B lack imagine une histoire originale, il garde toutefois la formule que W estlake utilisera quasiment tout au long des 26 romans - publiés de 1962 à...

Predator : Le Jour du chasseur

Je ne suis pas ce qu'on peut appeler un fan du personnage. J'ai vu en son temps, et revu depuis, le premier film ; je ne suis jamais allé très loin lorsqu'il débarque à New York  dans le deuxième opus de la franchise, et Prey m'a si rapidement ennuyé que je ne l'ai jamais fini. Reste celui de S hane B lack que j'ai revu avec plaisir, mais sûrement parce qu'il s'agit d'un film de S hane B lack. Enfin presque. <sourire>  Les autres film, et la majorité des BD, me sont totalement étrangers.             Mais « Predator : Le Jour du chasseur » m'a attiré grâce au travail de K ev W alker, et plus étonnamment à cause celui de  F rank D ' A rmata ; dont pourtant je goute assez peu la colorisation d'ordinaire.             À cela s'est ajouté un scénario plutôt attrayant, dans lequel E d B risson transforme les Predators en proie.  Ma méconnaissance du lore de la licence ne m'a pas permis de savoir si cela avai...