Accéder au contenu principal

Alcatraz (2012)

... Le 21 mars 1963 tous les détenus ainsi que les gardiens de la célèbre prison d'Alcatraz disparaissent sans laisser de traces, officiellement les coûts élevés de la prison ainsi que sa vétusté ont poussé l'administration pénitentiaire à en fermer les portes. Les prisonniers ont été transférés dans d'autres pénitenciers afin de finir de purger leur peine. 

  
Trente ans plus tard le matricule 2024 Jack Sylvane réapparaît ... 

... Créé par J.J. Abrams par ailleurs créateur d'Alias et co-créateur d'une petite flopée de série télévisées (Lost, Fringe ou encore Undercover), réalisateur du troisième Mission : Impossible, du dernier Star Trek, de Super 8, bref Alacatraz sera surement qualifiée de "série évènement" ; reste que si Abrams ne m'a jamais emballé outre mesure (je n'ai jamais réussi à terminer Alias, Lost ou Fringe par exemple) le premier épisode de cette série est plutôt pas mal.

À suivre donc .....

  

Commentaires

  1. Excellente série, les trois premier épisodes sont assez impressionnantes, la trame est bien faites.
    En espèrent que la suite soi de même niveau.
    C+

    RépondreSupprimer
  2. En fait Abrams n'est que producteur, il n'a en rien créé la série, tout comme " Persons of interest " à la rentrée. ;-)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Merci de ton rectificatif (il est quand même producteur exécutif, une place très importante dans la direction que peut/doit prendre le "show").

      Supprimer
  3. mais alors fringe c' est lui ou pas ?

    RépondreSupprimer
  4. Après trois ou quatre épisodes, je suis toujours assez dubitatif sur cette série... L'univers se cherche encore et le "gros de Lost" est quand même sacrément caricaturale... Je continue malgré tout en espérant un "fringe effect", cad un véritable et passionnant début de série à partir de la deuxième saison !...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Pour ma part j'en ai vu deux, et en regardant le deuxième, je pensais à ce que disait Jean-Pierre Dionnet dans l'émission Mauvais Genres du 28 janvier où il dit qu'il ne connait pas la fin de sa série (en cours d'écriture) "Des Dieux et des hommes". Si ce genre de propos ne me rassure pas, je crois qu'il s'applique à bon nombre de séries télés : un pitch et vogue la galère, on verra bien ce qui arrivera. Ce qui fait qu'on maintient l'attention du téléspectateur avec des révélations chocs, le deuxième épisode est pas mal du tout sur ce point, mais finalement on ne sait pas où on va et ça va finir par se voir.
      Au contraire de Jean-Pierre Dionnet je pense qu'un récit a besoin d'avoir un début et une fin, et que c'est entre les deux que l'auteur se fait plaisir (en faisant plaisir au lecteur/spectateur). Reste qu'en chemin la fin peut changer, mais au moins l'auteur a une idée de l'endroit où il emmène son public.
      Je ne veux pas dire que la fin doit être prévisible, bien au contraire.

      Supprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

The Words

... The Words ( Les Mots ) est un film qui avait tout pour me séduire : le roman en tant qu'élément principal, des acteurs que j'aime bien ; D ennis Q uaid, J eremy I rons, J . K . S immons et B radley C ooper. Éléments supplémentaire l'histoire se révèle être une histoire dans l'hisitoire. Ou plus exactement un roman à propos de l'écriture d'un roman, écrit par un autre ; entre fiction et réalité.  Je m'explique. Clay Hammon fait une lecture public de son dernier livre The Words dans lequel un jeune auteur, Rory Jansen , en mal de reconnaissance tente vaille que vaille de placer son roman chez différents éditeurs. Cet homme vit avec une très belle jeune femme et il est entouré d'une famille aimante. Finalement il va se construire une vie somme toute agréable mais loin de ce qu'il envisageait. Au cours de sa lune de miel, à Paris , son épouse va lui offrir une vieille serviette en cuir découverte chez un antiquaire, pour dit-elle qu'...

Nebula-9 : The Final Frontier

... Nebula-9 est une série télévisée qui a connu une brève carrière télévisuelle. Annulée il y a dix ans après 12 épisodes loin de faire l'unanimité : un mélodrame bidon et un jeu d'acteurs sans vie entendait-on très souvent alors. Un destin un peu comparable à Firefly la série de J oss W hedon, sauf que cette dernière bénéficiait si mes souvenirs sont bons, de jugements plus louangeurs. Il n'en demeure pas moins que ces deux séries de science-fiction (parmi d'autres telle Farscape ) naviguaient dans le sillage ouvert par Star Trek dés les années 60 celui du space opera . Le space opera est un terme alors légèrement connoté en mauvaise part lorsqu'il est proposé, en 1941 par l'écrivain de science-fiction W ilson T ucker, pour une catégorie de récits de S-F nés sous les couvertures bariolées des pulps des années 30. Les pulps dont l'une des particularités était la périodicité ce qui allait entraîner "une capacité de tradition" (...

Islander [Caryl Férey / Corentin Rouge]

            « Islander », bande dessinée de presque 160 planches, dont c'est seulement le premier tome, commence de manière assez réaliste.             On y voit Le Havre , devenu un port d'immigration. Ici, pour ce qui nous concerne pour l'instant, ce sera vers l’ Écosse .             Et en se fiant à ce qui se passe actuellement en France  (mais qui a commence grosso merdo en 1976), il est clair qu'hormis une guerre, c'est ce qui nous attend. Chassés (ou soumis) par ceux-là mêmes qui comptent trouver en France ce qu'ils détruisent consciencieusement en y arrivant. Les Français, mais d'une manière globale, les Européens n'auront pas beaucoup de choix (À moins de stopper totalement l’immigration à laquelle on assiste). Et je ne vois par C aryl F érey nous raconter une guerre de type migratoire. > SOURIRE <   Or donc, Le Havre .             ...