« Juste Cause 1995 » est un film qui cache admirablement son jeu. Paul Armstrong , professeur à l'université de Harvard (MA), est abordé par une vieille dame qui lui remet une lettre. Elle vient de la part de son petit-fils, Bobby Earl , accusé du meurtre d'une enfant de 11 ans, et qui attend dans le « couloir de la mort » en Floride . Ce dernier sollicite l'aide du professeur, un farouche opposant à la peine capitale. Dès le départ, « Juste Cause 1995 » joue sur les contradictions. Ainsi, Tanny Brown , « le pire flic anti-noir des Everglades », dixit la grand-mère de Bobby Earl , à l'origine de l'arrestation, est lui-même un africain-américain. Ceci étant, tout le film jouera à remettre en cause certains a priori , tout en déconstruisant ce que semblait proposer l'incipit du film d' A rne G limcher. La déconstruction en question est ici à entendre en tant que la mise en scène des contradictions de situations dont l'évidence paraît pour
Mon dieu le 17 Mars 1977 la naissance du faux journal Le trombone Illustrés dans le magazine Spirou. Puis les idées noires sera pré publié dans la revue Fluide Glacial.
RépondreSupprimerLa planète prison, la crucifixion du christ, le faux requin, le wc dans l'espace, le tireur myope ... etc. que du bonheur absolu, merci à vous Monsieur André Franquin, depuis 15 ans vous avez laissé un grand vide dans la Bd franco-belge