« Juste Cause 1995 » est un film qui cache admirablement son jeu. Paul Armstrong , professeur à l'université de Harvard (MA), est abordé par une vieille dame qui lui remet une lettre. Elle vient de la part de son petit-fils, Bobby Earl , accusé du meurtre d'une enfant de 11 ans, et qui attend dans le « couloir de la mort » en Floride . Ce dernier sollicite l'aide du professeur, un farouche opposant à la peine capitale. Dès le départ, « Juste Cause 1995 » joue sur les contradictions. Ainsi, Tanny Brown , « le pire flic anti-noir des Everglades », dixit la grand-mère de Bobby Earl , à l'origine de l'arrestation, est lui-même un africain-américain. Ceci étant, tout le film jouera à remettre en cause certains a priori , tout en déconstruisant ce que semblait proposer l'incipit du film d' A rne G limcher. La déconstruction en question est ici à entendre en tant que la mise en scène des contradictions de situations dont l'évidence paraît pour
c' est le documentaire de UN SIECLE D' ECRIVAINS ?
RépondreSupprimerÇa faisait longtemps que je n'avais plus vu l'un de tes commentaires, ça fait plaisir.
RépondreSupprimerEt la réponse est oui !
je devrais me manifester plus souvent vu que je regarde ton blog tout les jours
RépondreSupprimerMerci l'ami pour le documentaire.
RépondreSupprimerAvec plaisir cowboy [-_ô].
RépondreSupprimerUn peu de Culture dans ce monde de brutes ne saurait faire de mal... Merci :-)
RépondreSupprimerFredo.