•••• Autant le dire tout de suite, l'intrigue de Délires d'Orphée, de la collection Club Van Helsing, tient sur un ticket de métro londonien (London Underground héhé). Ce qui est du reste, la marque de fabrique de ce type de série : à chaque tome, un nouvel auteur. Lequel devra broder sur le high concept suivant : « un monstre, un chasseur ». Autant donc soigner son style.
Et en effet, le court roman de Catherine Dufour (150 pages et quelques) n'est rien d'autre qu'un exercice de style, brillamment exécuté. Il ne sera pas le seul, rassurez-vous !
Souci du détail, longues énumérations, personnages « hauts en couleur », ruminations existentielles, running gag, le 5ème tome de ladite collection (qui je crois, en compte douze) est sûrement l'un des meilleurs que j'ai lus.
Publié par les éditions BALEINE, Délires d'Orphée met donc en scène, vous noterez la cocasserie de la situation, le dernier Grand Maître de la Confrérie des tueurs de cachalot des Açores, mandaté par Van Helsing lui-même, pour retrouver un artefact mythologique.
Rien qui ne vaille de se réveiller la nuit, une petite réussite en soi puisque Catherine Dufour avait d'abord pensé intituler son opus « Dans les bras de Morphée ». Et qu'on peut trouver bradé à vil prix chez les bouquinistes et les sites de ventes en ligne, ce qui équilibre la balance qualité/prix en sa faveur. Encore une preuve, qu'il n'y a rien que le temps qui passe ne puisse soigner.
Encore un livre nommé au Challenge Summer Short Stories of SFFF – saison4 !
Et en effet, le court roman de Catherine Dufour (150 pages et quelques) n'est rien d'autre qu'un exercice de style, brillamment exécuté. Il ne sera pas le seul, rassurez-vous !
Souci du détail, longues énumérations, personnages « hauts en couleur », ruminations existentielles, running gag, le 5ème tome de ladite collection (qui je crois, en compte douze) est sûrement l'un des meilleurs que j'ai lus.
Publié par les éditions BALEINE, Délires d'Orphée met donc en scène, vous noterez la cocasserie de la situation, le dernier Grand Maître de la Confrérie des tueurs de cachalot des Açores, mandaté par Van Helsing lui-même, pour retrouver un artefact mythologique.
Rien qui ne vaille de se réveiller la nuit, une petite réussite en soi puisque Catherine Dufour avait d'abord pensé intituler son opus « Dans les bras de Morphée ». Et qu'on peut trouver bradé à vil prix chez les bouquinistes et les sites de ventes en ligne, ce qui équilibre la balance qualité/prix en sa faveur. Encore une preuve, qu'il n'y a rien que le temps qui passe ne puisse soigner.
Encore un livre nommé au Challenge Summer Short Stories of SFFF – saison4 !
Cette collection joue sur l'humour et la plume que sur l'originalité d'un scénario. J'en ai lu quelques uns et je me suis bien marrée.
RépondreSupprimerPareil !
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