Cette nouvelle aventure de Bob Howard l'envoie, une fois n'est pas coutume aux États-Unis d'Amérique.
••• Mais rassure-vous, Charles Stross y émule toujours une horreur cosmique d’Appellation d'Origine Contrôlée (ou HPL).
Toutefois Le Codex Apocalypse se démarque des précédents récits du « Cycle », (commencé avec le roman Le Bureau des Atrocités [Pour en savoir +]) en donnant à deux contractuels une part bien plus importante que n'en occupe Bob Howard dans cette histoire.
Charles Stross y développe également un peu plus les étages supérieurs de la « Laverie », le service occulte (dans tous les sens du terme) de Sa Majesté. Si l'histoire est auto-contenue, elle est aussi l'occasion de la mise en place de plusieurs sub-plots : les 2 agents freelance, le Cercle noir qui sont je pense destinés à revenir, et surtout « L'Affaire cauchemar Vert ».
Si une partie de l'inspiration vient bien de Providence, Charles Stross est aussi un fervent admirateur de quelques uns des auteurs britanniques qui ont donné leurs lettres de noblesse au roman d'espionnage. Le Bureau des Atrocités était un hommage à Len Deighton, Jennifer Morgue à Ian Fleming [Pour en savoir +], celui-ci en est un à Modesty Blaise émulée en lieu et place par Perséphone Hazard.
Créée par Peter O'Donnel et le dessinateur Jim Holdaway sous la forme de comic strips, les aventures de cet intrépide personnage (accompagné de Will Garvin) seront déclinées en roman, mais aussi en film.
Je ne recommanderais pas de commencer la lecture des aventures de Bob Howard et de la Laverie, en commençant par Le Codex Apocalypse. Charles Stross, s'il fait assez habilement le point sur ce qui c'est passé avant, et brosse un rapide portrait des personnages récurrents, considère néanmoins tout ce qui a précédé cette aventure proprement dite comme acquis par le lecteur.
On peut trouver les deux premiers romans publiés au Livre de Poche, pour la suite, c'est auprès d'ExoGlyphes qu'il faudra cotiser. En effet la traduction par David Creuze fait l'objet d'un financement participatif comme il en existe maintenant. Tous les renseignements sont disponibles sur la plateforme Tipeee [Pour en savoir +]
••• Si Le Codex Apocalypse n'est pas le meilleur de la série que j'ai lu jusqu'à présent, la faute en incombe à ce qu'il prépare le terrain pour la suite. Toutefois il n'est moyen qu'en regard des précédentes histoires, donc relativement à ce qui se fait de mieux dans le domaine de l’esthétique de la fusion©™ romanesque.
Ce qui le place en bonne place rayon divertissement. Et puis, le surprenant retournement de situation que l'on apprend grâce à Perséphone Hazard, me laisse croire que Charles Stross en a encore sous la semelle.
Les moins de 350 pages de ce roman (calculées à la louche d’après la pagination de l'édition hardcover de la version originale) le place en lice pour le Challenge Summer Short Stories of SFFF – saison4 !
••• Mais rassure-vous, Charles Stross y émule toujours une horreur cosmique d’Appellation d'Origine Contrôlée (ou HPL).
Toutefois Le Codex Apocalypse se démarque des précédents récits du « Cycle », (commencé avec le roman Le Bureau des Atrocités [Pour en savoir +]) en donnant à deux contractuels une part bien plus importante que n'en occupe Bob Howard dans cette histoire.
Charles Stross y développe également un peu plus les étages supérieurs de la « Laverie », le service occulte (dans tous les sens du terme) de Sa Majesté. Si l'histoire est auto-contenue, elle est aussi l'occasion de la mise en place de plusieurs sub-plots : les 2 agents freelance, le Cercle noir qui sont je pense destinés à revenir, et surtout « L'Affaire cauchemar Vert ».
Si une partie de l'inspiration vient bien de Providence, Charles Stross est aussi un fervent admirateur de quelques uns des auteurs britanniques qui ont donné leurs lettres de noblesse au roman d'espionnage. Le Bureau des Atrocités était un hommage à Len Deighton, Jennifer Morgue à Ian Fleming [Pour en savoir +], celui-ci en est un à Modesty Blaise émulée en lieu et place par Perséphone Hazard.
Créée par Peter O'Donnel et le dessinateur Jim Holdaway sous la forme de comic strips, les aventures de cet intrépide personnage (accompagné de Will Garvin) seront déclinées en roman, mais aussi en film.
Je ne recommanderais pas de commencer la lecture des aventures de Bob Howard et de la Laverie, en commençant par Le Codex Apocalypse. Charles Stross, s'il fait assez habilement le point sur ce qui c'est passé avant, et brosse un rapide portrait des personnages récurrents, considère néanmoins tout ce qui a précédé cette aventure proprement dite comme acquis par le lecteur.
On peut trouver les deux premiers romans publiés au Livre de Poche, pour la suite, c'est auprès d'ExoGlyphes qu'il faudra cotiser. En effet la traduction par David Creuze fait l'objet d'un financement participatif comme il en existe maintenant. Tous les renseignements sont disponibles sur la plateforme Tipeee [Pour en savoir +]
••• Si Le Codex Apocalypse n'est pas le meilleur de la série que j'ai lu jusqu'à présent, la faute en incombe à ce qu'il prépare le terrain pour la suite. Toutefois il n'est moyen qu'en regard des précédentes histoires, donc relativement à ce qui se fait de mieux dans le domaine de l’esthétique de la fusion©™ romanesque.
Ce qui le place en bonne place rayon divertissement. Et puis, le surprenant retournement de situation que l'on apprend grâce à Perséphone Hazard, me laisse croire que Charles Stross en a encore sous la semelle.
Les moins de 350 pages de ce roman (calculées à la louche d’après la pagination de l'édition hardcover de la version originale) le place en lice pour le Challenge Summer Short Stories of SFFF – saison4 !
(À suivre ......)
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