•••• L'exploitation du genre y est assez ténue ; cependant c'est cette particularité qui m'a donné envie de lire Les Premiers sous-titré donc : Une histoire des super-héros français, roman de 350 pages écrit par Xabi Molia. Je suis même tenté de dire que n'importe quel type de people aurait pu se substituer auxdits super-héros français. Du moment que leur « capital de visibilité » fut immédiat et planétaire. Mais, au moins depuis Stan Lee, on sait que les super-héros sont bien plus humains que ce qu'on en disait, et que l'hypothèse qu'envisage Xabi Molia pour les siens, est donc tout ce qu'il y a de recevable.
Récit des coulisses des exploits médiatiques de ces personnages, plutôt que baroud pyrotechnique et pugilistique Les Premiers s'attaque à un angle qui s'il n'est pas le premier (sic) à l'envisager, l'est d'une manière captivante, et aiguë.
En général peu porté sur les romans psychologiques de la « littérature blanche* », j'ai néanmoins lu ce roman avec entrain. Et si au final rien de nouveau ne s'y manifeste, du moins rien que je n'aie pu lire ailleurs ; alors ce qui m'a fait tourner page après page est rien de moins que le talent de Xabi Molia.
Même si je serais bien incapable d'en expliquer la teneur.
•••• Loin je crois, d'un opportunisme de circonstance, tant Les Premiers déjoue tous les pronostiques quant à son contenu, à la vue de son austère couverture. Tout aussi éloignés des canons du genre en vigueur, que son mystérieux titre, à peine entamé par son sous-titre.
Ce roman, qui a pris 3 ou 4 ans de travail à son auteur, risque donc de plaire, non grâce à ce qu'il dit d'un phénomène de société (les super-héros), tout aussi évident sur notre plan de réalité d'ailleurs, quand bien même ressort-il uniquement des salles obscures, mais de la manière qu'il a de le faire.
Un roman nommé au Challenge Summer Short Stories of SFFF – saison4 !
___________
*Littérature blanche certes, mais comme chacun a pu s'en rendre compte, le mème « super-héros » est récessif.
Récit des coulisses des exploits médiatiques de ces personnages, plutôt que baroud pyrotechnique et pugilistique Les Premiers s'attaque à un angle qui s'il n'est pas le premier (sic) à l'envisager, l'est d'une manière captivante, et aiguë.
En général peu porté sur les romans psychologiques de la « littérature blanche* », j'ai néanmoins lu ce roman avec entrain. Et si au final rien de nouveau ne s'y manifeste, du moins rien que je n'aie pu lire ailleurs ; alors ce qui m'a fait tourner page après page est rien de moins que le talent de Xabi Molia.
Même si je serais bien incapable d'en expliquer la teneur.
•••• Loin je crois, d'un opportunisme de circonstance, tant Les Premiers déjoue tous les pronostiques quant à son contenu, à la vue de son austère couverture. Tout aussi éloignés des canons du genre en vigueur, que son mystérieux titre, à peine entamé par son sous-titre.
Ce roman, qui a pris 3 ou 4 ans de travail à son auteur, risque donc de plaire, non grâce à ce qu'il dit d'un phénomène de société (les super-héros), tout aussi évident sur notre plan de réalité d'ailleurs, quand bien même ressort-il uniquement des salles obscures, mais de la manière qu'il a de le faire.
Un roman nommé au Challenge Summer Short Stories of SFFF – saison4 !
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*Littérature blanche certes, mais comme chacun a pu s'en rendre compte, le mème « super-héros » est récessif.
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