••• Prévue pour une sortie le 23 août 2018 via la maison d'édition Monsieur Toussaint Louverture, Moi, ce que j'aime, c'est les monstres, première bande dessinée de la quinquagénaire Emil Ferris, bénéficie d'une publication en avant-première dans le quotidien Libération, et d'un bouche à oreille très favorable.
Après avoir lu la trentaine de pages proposée par Libération, je ne peux que me rallier aux éloges lus ici et là. Même s'il est difficile de voir où cela est sensé nous mener.
Reste que la personnalité de Karen Reyes est très crédible, ce qui n'est pas rien lorsqu'on nous propose de lire son journal intime. Lequel semble s'intéresser à la mort d'une de ses voisines.
Ce qui en soit n'est déjà pas banal pour une fillette de 10 ans. Mais nous ne sommes pas au bout de nos surprises, car Karen est passionnée, comme le titre de l'album le laissait entendre, par les monstres. Au point de se représenter elle-même en jeune louve-garou (?) dans son journal.
Comme on peut le voir sur les pages supra, le talent d'Emil Ferris n'est pas exclusif à une imagination débridée. Question artistique elle se pose là aussi.
Tout semble donc réuni pour que ce premier tome de 416 pages, vendu au prix de 34,90 €, rejoigne mon caddie, fin août.
Après avoir lu la trentaine de pages proposée par Libération, je ne peux que me rallier aux éloges lus ici et là. Même s'il est difficile de voir où cela est sensé nous mener.
Reste que la personnalité de Karen Reyes est très crédible, ce qui n'est pas rien lorsqu'on nous propose de lire son journal intime. Lequel semble s'intéresser à la mort d'une de ses voisines.
Ce qui en soit n'est déjà pas banal pour une fillette de 10 ans. Mais nous ne sommes pas au bout de nos surprises, car Karen est passionnée, comme le titre de l'album le laissait entendre, par les monstres. Au point de se représenter elle-même en jeune louve-garou (?) dans son journal.
Comme on peut le voir sur les pages supra, le talent d'Emil Ferris n'est pas exclusif à une imagination débridée. Question artistique elle se pose là aussi.
Tout semble donc réuni pour que ce premier tome de 416 pages, vendu au prix de 34,90 €, rejoigne mon caddie, fin août.
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