••• Une étude en vert c'est la tentative de Neil Gaiman d'écrire une nouvelle s'inspirant de l'univers Wold Newton (créé au départ par Philip José Farmer).
Commandée pour l'anthologie de Michael Reaves (en collaboration avec John Pelan) : Shadows over Baker Street, cette nouvelle devait être « un récit où Sherlock Holmes rencontre l'univers de H. P. Lovecraft ». Toutefois Neil Gaiman tout en acceptant cette contrainte, savait qu'il y avait une aporie : comment réunir deux univers si diamétralement opposés ?
D'un côté celui de Holmes absolument rationnel, voué aux solutions ; de l'autre celui de Lovecraft si totalement irrationnel, mystérieux et si dangereux pour la santé mental des protagonistes ...... et des lecteurs.
« I saw but did not observe »
Dire que Neil Gaiman s'en tire haut main est un euphémisme ; non seulement cette nouvelle est une belle réussite, mais en plus elle a un effet Kisscool©.
Je me suis surpris ce matin à repenser à ma lecture de la veille et à me rendre compte que tel ou tel passage m'avait échappé, pas le passage en tant que tel bien sûr, mais sa ... disons signification.
Car vous l'avez compris cette nouvelle est un petit bijou de finesse et d'intelligence.
Toutefois une connaissance de ces deux auteurs est un préalable nécessaire & indispensable, me semble-t-il.
On la trouve traduite en français par Michel Pagel dans le recueil Des Choses fragiles. Je propose en illustration l'une des couvertures des éditions anglo-saxonnes, celle dessinée par Yuko Shimizu (que j'aime beaucoup) qui est également le cover artist de la série The Unwritten (que j'aime beaucoup également,voir ici).
Vous pouvez lire cette nouvelle si le cœur vous en dit, dans sa langue d'origine en cliquant ici, elle y est présentée sous la forme d'un feuilleton paru dans un journal, et c'est très réussi.
Commandée pour l'anthologie de Michael Reaves (en collaboration avec John Pelan) : Shadows over Baker Street, cette nouvelle devait être « un récit où Sherlock Holmes rencontre l'univers de H. P. Lovecraft ». Toutefois Neil Gaiman tout en acceptant cette contrainte, savait qu'il y avait une aporie : comment réunir deux univers si diamétralement opposés ?
D'un côté celui de Holmes absolument rationnel, voué aux solutions ; de l'autre celui de Lovecraft si totalement irrationnel, mystérieux et si dangereux pour la santé mental des protagonistes ...... et des lecteurs.
Illustration Yuko Shimizu |
Dire que Neil Gaiman s'en tire haut main est un euphémisme ; non seulement cette nouvelle est une belle réussite, mais en plus elle a un effet Kisscool©.
Je me suis surpris ce matin à repenser à ma lecture de la veille et à me rendre compte que tel ou tel passage m'avait échappé, pas le passage en tant que tel bien sûr, mais sa ... disons signification.
Car vous l'avez compris cette nouvelle est un petit bijou de finesse et d'intelligence.
Toutefois une connaissance de ces deux auteurs est un préalable nécessaire & indispensable, me semble-t-il.
On la trouve traduite en français par Michel Pagel dans le recueil Des Choses fragiles. Je propose en illustration l'une des couvertures des éditions anglo-saxonnes, celle dessinée par Yuko Shimizu (que j'aime beaucoup) qui est également le cover artist de la série The Unwritten (que j'aime beaucoup également,voir ici).
Vous pouvez lire cette nouvelle si le cœur vous en dit, dans sa langue d'origine en cliquant ici, elle y est présentée sous la forme d'un feuilleton paru dans un journal, et c'est très réussi.
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