Chère madame Beukes, Si c'est la première fois que je prends le temps de vous écrire, sachez que vous occupez mes pensées à chacune des commercialisations de vos romans dans l' Hexagone . Et même souvent un peu avant, et un peu après le temps qu'il me faut pour les lire. J'ai également lu quelques-unes des bandes dessinées que vous avez écrites pour l'éditeur américain DC Comics™, avec le même plaisir. Votre nouveau roman, traduit par L aurent P hilibert- C aillat pour le département Imaginaire d’Albin Michel™, a encore une fois retenu mon attention. Son entrée en matière, aussi saisissante que de surprendre un carjacking au détour d'une rue mal éclairé de Joburg (alors même que votre récit se déroule essentiellement aux U.S.A. ), n'est pas pour rien dans son attrait, lequel ne diminue jamais pendant ses presque 500 pages. S'il est vraisemblable que je ne serai pas le seul à penser à deux autres romans très marquants, qui n'