Deux recueils m'ont fait passer le temps d'un aller-retour ferroviaire. « Faute avouée » et « La Dernière prise » de G eorge P elecanos. Je m'étais dit que ça serait - peut-être, aussi, un bon moyen de renouer avec le natif de Washington , lui dont la ville de naissance est un personnage très important de sa bibliographie. Et que j'avais laissé en plan il y a déjà pas mal d'années. « Ce n'est pas un auteur de policier classique. Chez lui, la résolution du crime n'est pas essentielle. C'est un portraitiste, avec un style très visuel », résume R obert P épin, son éditeur chez Calmann-Lévy™, et par ailleurs traducteur de « Faute avouée ». Et en effet, P elecanos a ici un style très accrocheur dont d'ailleurs, je ne me souvenais pas. J'ai lu les nouvelles et les novellas de ces deux recueils sans presque m'ennuyer. Comme le dit G eorge P elec...