« Juste Cause 1995 » est un film qui cache admirablement son jeu. Paul Armstrong , professeur à l'université de Harvard (MA), est abordé par une vieille dame qui lui remet une lettre. Elle vient de la part de son petit-fils, Bobby Earl , accusé du meurtre d'une enfant de 11 ans, et qui attend dans le « couloir de la mort » en Floride . Ce dernier sollicite l'aide du professeur, un farouche opposant à la peine capitale. Dès le départ, « Juste Cause 1995 » joue sur les contradictions. Ainsi, Tanny Brown , « le pire flic anti-noir des Everglades », dixit la grand-mère de Bobby Earl , à l'origine de l'arrestation, est lui-même un africain-américain. Ceci étant, tout le film jouera à remettre en cause certains a priori , tout en déconstruisant ce que semblait proposer l'incipit du film d' A rne G limcher. La déconstruction en question est ici à entendre en tant que la mise en scène des contradictions de situations ...
Splendide ! A.Moore est définitivement une esprit brillant et nous avons eu de la chance qu'il s'exprime au travers de la B.D.
RépondreSupprimerSi j'avais été George Lucas, je l'aurais embauchais en 1989/90 à coups de millions de $ pour qu'il écrive les épisodes 1, 2, 3 et 7,8, 9 de la saga. Nul doute qu'il l'aurait porté à des cimes !
Merci Artemus !
Bastien Ayala
Avec grand plaisir Bastien.
Supprimer