« Juste Cause 1995 » est un film qui cache admirablement son jeu. Paul Armstrong , professeur à l'université de Harvard (MA), est abordé par une vieille dame qui lui remet une lettre. Elle vient de la part de son petit-fils, Bobby Earl , accusé du meurtre d'une enfant de 11 ans, et qui attend dans le « couloir de la mort » en Floride . Ce dernier sollicite l'aide du professeur, un farouche opposant à la peine capitale. Dès le départ, « Juste Cause 1995 » joue sur les contradictions. Ainsi, Tanny Brown , « le pire flic anti-noir des Everglades », dixit la grand-mère de Bobby Earl , à l'origine de l'arrestation, est lui-même un africain-américain. Ceci étant, tout le film jouera à remettre en cause certains a priori , tout en déconstruisant ce que semblait proposer l'incipit du film d' A rne G limcher. La déconstruction en question est ici à entendre en tant que la mise en scène des contradictions de situations dont l'évidence paraît pour
merci du coup j' ai tout imprimé
RépondreSupprimerça y est je l' ai enfin ( re ) lu , je ne sais plus où je l' avais déjà lu ( peut etre dans l' ancienne formule de superpouvoir ? ) ya plein d' idée qu' on été piquées : la première qui me vient à l' esprit est le changeling plus animal et le nightwing plus expeditif que batman dans un arc des titans ou ils croisaient leurs doubles du futur ( sauf que c' etait tim drake qui reprenait carrement le costume de batman ), une bonne de kingdom come évidemment, et earth x aussi. j' aime bien l' astuce que moore propose pour les séries ne souhaitant pas etre trop impliquée dans le crossover, le role innattendu du martian manhunter
RépondreSupprimeret j' ai oublié aussi toute une partie de flashpoint qui meme si je ne l' ai pas lu, a l' air largement inspiré au niveau des différents royaumes
RépondreSupprimerUne discussion sur les emprunts d'untel sur tel ou tel projet est toujours délicate.
RépondreSupprimerPar exemple on a dit, et encore maintenant que Moore s'est largement inspiré du livre de Robert Mayer "Superfolks" (1977) pour ses trois oeuvre majeures : "Marvelman", "Watchmen" et "Whathever Happend" ..
Voir ici trois billets récents sur le sujet :
http://comicsbeat.com/alan-moore-and-superfolks-part-1-the-case-for-the-prosecution/
D'un autre côté si tel est le cas pour Moore, il est le seul après avoir lu ce roman à avoir produit ces trois oeuvre majeures, personne d'autre ne l'a fait.
Et je parle même pas du côté inconscient de la chose.
[-_ô]
Quel dommage que DC se soit montré mauvais joueur et légaliste en ce qui concerne les droits de Watchmen et de V. Sans cette attitude digne de Marvel comics, nous aurions pu lire ce monument des comics -bien que j'ai pas mal de considération comme Crisis que je ne trouve encore sous-estimé- et peut-être d'autres à venir.
RépondreSupprimerSi Watchmen avait été fait avec les héros de la Charlton, il aurait été légitime que l'oeuvre restât dans le giron de DC, mais comme les personnages furent créées par Moore et Gibbons.
En ce qui concerne Swof, oui, c'était un excellent fanzine qui se sera distingué jusqu'à son trentième et, hélas, ultime numéro...
C'est sûr que DC Comics ne sort pas grandi de cette affaire, mais bizness is bizness !
SupprimerEn tout cas merci de ton passage.