…. Dead Men Walking débute de façon assez classique : un détachement de prisonniers arrive dans lieu de détention, microcosme gouverné par le « darwinisme social » le plus exacerbé, où chacun des nouveaux devra choisir son camp. Celui des proies où celui des prédateurs.
Loin de se cantonner uniquement à une énième histoire en milieu carcéral, Dead Men Walking propose aussi un contexte de science-fiction qui ne fait pas que de la figuration (sans être pour autant de la hard science).
Sans être d’une originalité folle, le scénario montre suffisamment de ressource pour stimuler la curiosité tout du long. Grâce – également – à un mauvais esprit affiché et à de multiples retournements de situation.
Une lecture rendue encore plus agréable par le travail de Boo Coock, dessinateur au style reconnaissable entre tous qui dynamise visuellement cette histoire, déjà menée à un train d’enfer par son scénariste.
.... David Bisphop, qui publie ici sous un alias, longtemps editor de 2000AD et du Judge Dredd Megazine, démontre des qualités de scénariste au moins égales à celles d’essayiste (que je lui connaissais).
On lui doit notamment une excellente (et plutôt exhaustive) histoire de l’hebdomadaire britannique déjà cité, intitulée Thrill Power Overload.
Loin de se cantonner uniquement à une énième histoire en milieu carcéral, Dead Men Walking propose aussi un contexte de science-fiction qui ne fait pas que de la figuration (sans être pour autant de la hard science).
Sans être d’une originalité folle, le scénario montre suffisamment de ressource pour stimuler la curiosité tout du long. Grâce – également – à un mauvais esprit affiché et à de multiples retournements de situation.
Une lecture rendue encore plus agréable par le travail de Boo Coock, dessinateur au style reconnaissable entre tous qui dynamise visuellement cette histoire, déjà menée à un train d’enfer par son scénariste.
.... David Bisphop, qui publie ici sous un alias, longtemps editor de 2000AD et du Judge Dredd Megazine, démontre des qualités de scénariste au moins égales à celles d’essayiste (que je lui connaissais).
On lui doit notamment une excellente (et plutôt exhaustive) histoire de l’hebdomadaire britannique déjà cité, intitulée Thrill Power Overload.
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