.... Une intervention banale de Dredd prend un tour inattendu lorsqu'il apprend la mort d'une enfant entrée à l'Academy of Law.
« Ghosts », scénarisée par Michael Carroll – dont j’aime assez le style – aurait pu durer plus que les 36 planches dont elle a bénéficié. Plutôt que de tirer à la ligne, Carroll resserre son intrigue en faisant des choix qui retiennent l’attention autant qu’ils dépeignent le contexte dans lequel elle se déroule, sur le mode du « show, don’t tell ».
En très peu de pages donc, on s’immerge dans les « us & coutumes » de Mega-City One avec une facilité déconcertante ; quand bien même étions-nous ignorant de son existence avant de nous y plonger.
« Ghosts » bénéficie, outre le savoir-faire d’un scénariste qui connaît son travail, des dessins de Mark Sexton.
Sens du détail et mise en récit astucieuse & dynamique, le plan-séquence (si j’ose dire) ci-dessous est assez bluffant (et tout à fait représentatif de son travail) :
À l’image de l’ensemble des planches qui composent cette histoire.
.... Une plus-value artistique (encore rehaussée par l’excellent travail de Len O’Grady à la colorisation) qui permet à « Ghosts » d’obtenir la mention « Très bien », et de me laisser un excellent souvenir.
« Ghosts », scénarisée par Michael Carroll – dont j’aime assez le style – aurait pu durer plus que les 36 planches dont elle a bénéficié. Plutôt que de tirer à la ligne, Carroll resserre son intrigue en faisant des choix qui retiennent l’attention autant qu’ils dépeignent le contexte dans lequel elle se déroule, sur le mode du « show, don’t tell ».
En très peu de pages donc, on s’immerge dans les « us & coutumes » de Mega-City One avec une facilité déconcertante ; quand bien même étions-nous ignorant de son existence avant de nous y plonger.
« Ghosts » bénéficie, outre le savoir-faire d’un scénariste qui connaît son travail, des dessins de Mark Sexton.
Sens du détail et mise en récit astucieuse & dynamique, le plan-séquence (si j’ose dire) ci-dessous est assez bluffant (et tout à fait représentatif de son travail) :
À l’image de l’ensemble des planches qui composent cette histoire.
.... Une plus-value artistique (encore rehaussée par l’excellent travail de Len O’Grady à la colorisation) qui permet à « Ghosts » d’obtenir la mention « Très bien », et de me laisser un excellent souvenir.
Commentaires
Enregistrer un commentaire