.... Petit retour en arrière sur l'unes des plus ambitieuses entreprises d'Alan Moore.
Après s'être absenté du devant de la scène mainstream de la BD américaine, puis s'être échauffé entre autres sur Spawn, Glory ou encore Supreme ; Moore se lance dans la publication d'un label - America's Best Comics - qu'il anime presque seul au scénario, à la manière d'un Stan Lee des âges farouches de la Marvel des sixties (qu'il avait justement, et plutôt gentiment, parodié au travers de la mini-série 1963).
La revue Comic Box avait traduit un petit supplément de quelques pages où le label en question y était présenté. C'est charmant & ludique, et pour le coup - bien sûr, en français.
Après s'être absenté du devant de la scène mainstream de la BD américaine, puis s'être échauffé entre autres sur Spawn, Glory ou encore Supreme ; Moore se lance dans la publication d'un label - America's Best Comics - qu'il anime presque seul au scénario, à la manière d'un Stan Lee des âges farouches de la Marvel des sixties (qu'il avait justement, et plutôt gentiment, parodié au travers de la mini-série 1963).
La revue Comic Box avait traduit un petit supplément de quelques pages où le label en question y était présenté. C'est charmant & ludique, et pour le coup - bien sûr, en français.
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