.... Le magazine LIRE de septembre propose une petite présentation d'Alan Moore (à l'occasion de la sortie de Jerusalem), décrit comme un geek, voire le modèle du geek. Je ne sais pas vers quelle définition penche Baptiste Liger, sûrement pas celle que donne Tom Wolfe [Pour en savoir +] :
J'ajoute à ce service minimum (mais plutôt bien fait hormis l'incongru « geek »), un lien vers un entretien proposé par le site LA SPIRALE.ORG [Pour en savoir +] (qui devrait réjouir Moore, puisque LA SPIRALE est un site qui promeut l'avant-garde et la contre-culture d'aujourd'hui).
Il s'agit de la traduction - ou plutôt d'un cut-up - d'une interview donnée au magazine World Litterature en janvier 2017.
« Juste Cause 1995 » est un film qui cache admirablement son jeu. Paul Armstrong , professeur à l'université de Harvard (MA), est abordé par une vieille dame qui lui remet une lettre. Elle vient de la part de son petit-fils, Bobby Earl , accusé du meurtre d'une enfant de 11 ans, et qui attend dans le « couloir de la mort » en Floride . Ce dernier sollicite l'aide du professeur, un farouche opposant à la peine capitale. Dès le départ, « Juste Cause 1995 » joue sur les contradictions. Ainsi, Tanny Brown , « le pire flic anti-noir des Everglades », dixit la grand-mère de Bobby Earl , à l'origine de l'arrestation, est lui-même un africain-américain. Ceci étant, tout le film jouera à remettre en cause certains a priori , tout en déconstruisant ce que semblait proposer l'incipit du film d' A rne G limcher. La déconstruction en question est ici à entendre en tant que la mise en scène des contradictions de situations dont l'évidence paraît pour
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