.... Consacrée principalement à la gent féminine, Fairest, maxi-série d'une trentaine de numéros, ne s'était jusqu'à maintenant guère illustrée (sic) à l'aune de mes attentes, et à celle de sa série mère : Fables.
Heureusement, l'arc intitulé Of Men and Mice (« Des Hommes et des souris » pour l'éditeur hexagonal Urban Comics), casse le rythme bien trop plan-plan des numéros précédents.
Rien de révolutionnaire non plus dans cette histoire écrite par Marc Andreyko, sinon un enchaînement de péripéties mené au pas de charge, un sens du suspense et du cliffhanger consommé, et un humour qui fait souvent mouche. Le tout serti d'une pointe d’étrangeté qui fait son petit effet.
Après les aventures de la Belle au Bois Dormant, Raiponce et Nalayani, c'est donc au tour de Cendrillon d'occuper le devant de la table à dessin, laquelle si mes souvenirs sont bons, a aussi eu droit à deux autres mini-séries dont elle a été l'héroïne.
Dessinés par Shawn McManus, ces sept numéros se lisent d'une traite et avec un certain plaisir (ce qui ne gâche rien) ; tout en tirant avantage, à son corps défendant, de la déception qu'ont laissé les 25 numéros précédents, plutôt communs (un comble dans le monde des Fables inventé par Bill Willingham).
.... En définitive, Des Hommes et des Souris ne risque pas de concourir pour la première place de la meilleure histoire que j'aie lue, néanmoins cet arc se sera suffisamment distingué de ses prédécesseurs pour que je prenne le temps d'en parler. [-_ô]
Cela dit, je n'ai pas fini de lire tous les numéros qui composent la totalité de Fairest, et une autre bonne surprise est encore possible (?).
Adam Hughes s'occupe avec talent des couvertures |
Rien de révolutionnaire non plus dans cette histoire écrite par Marc Andreyko, sinon un enchaînement de péripéties mené au pas de charge, un sens du suspense et du cliffhanger consommé, et un humour qui fait souvent mouche. Le tout serti d'une pointe d’étrangeté qui fait son petit effet.
Après les aventures de la Belle au Bois Dormant, Raiponce et Nalayani, c'est donc au tour de Cendrillon d'occuper le devant de la table à dessin, laquelle si mes souvenirs sont bons, a aussi eu droit à deux autres mini-séries dont elle a été l'héroïne.
Dessinés par Shawn McManus, ces sept numéros se lisent d'une traite et avec un certain plaisir (ce qui ne gâche rien) ; tout en tirant avantage, à son corps défendant, de la déception qu'ont laissé les 25 numéros précédents, plutôt communs (un comble dans le monde des Fables inventé par Bill Willingham).
.... En définitive, Des Hommes et des Souris ne risque pas de concourir pour la première place de la meilleure histoire que j'aie lue, néanmoins cet arc se sera suffisamment distingué de ses prédécesseurs pour que je prenne le temps d'en parler. [-_ô]
Cela dit, je n'ai pas fini de lire tous les numéros qui composent la totalité de Fairest, et une autre bonne surprise est encore possible (?).
(À suivre ....)
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