... L'une des théories d'Henri Laborit montre qu'en cas d'agression, il y a trois situations : la fuite, l'inhibition, la lutte.
Des expériences ont montré qu'un sujet, un rat en l'occurrence soumis à une agression de type courant électrique qui a la possibilité d'échapper à la décharge reste en bonne santé.
Dans une seconde situation, il ne peut pas fuir, il subit donc la punition à laquelle il ne peut échapper.
Ajoutons qu'une sonnerie est émise quatre secondes avant la décharge électrique. Procédé également en place lors de l'expérience précédente ainsi que dans la suivante.
Il résulte de cette deuxième situation un comportement d'inhibition - le rat ne peut agir, qui entraîne dans l'organisme des perturbations extrêmes : hypertension, fatigue, ulcère, mal être, .... suicide.
Dans une troisième situation, le rat ne peut toujours pas fuir, cependant il se trouve enfermé avec un autre rat.
Celui-ci va lui servir d'adversaire.
Alors qu'il lutte contre son confrère le rat subit toutes les décharges, cette lutte n'empêche pas la punition, mais il agit.
Ce rat ne fera aucun des accidents pathologiques de ceux de l'expérience précédente.
Cependant la société dans laquelle nous vivons ne permet pas toujours de lutter physiquement contre un adversaire, ou même de fuir. Reste qu'il faut éviter l'inhibition de l'action.
Comment ?
En agissant !
Sacré Cubitus !
Des expériences ont montré qu'un sujet, un rat en l'occurrence soumis à une agression de type courant électrique qui a la possibilité d'échapper à la décharge reste en bonne santé.
Dans une seconde situation, il ne peut pas fuir, il subit donc la punition à laquelle il ne peut échapper.
Ajoutons qu'une sonnerie est émise quatre secondes avant la décharge électrique. Procédé également en place lors de l'expérience précédente ainsi que dans la suivante.
Il résulte de cette deuxième situation un comportement d'inhibition - le rat ne peut agir, qui entraîne dans l'organisme des perturbations extrêmes : hypertension, fatigue, ulcère, mal être, .... suicide.
Dans une troisième situation, le rat ne peut toujours pas fuir, cependant il se trouve enfermé avec un autre rat.
Celui-ci va lui servir d'adversaire.
Alors qu'il lutte contre son confrère le rat subit toutes les décharges, cette lutte n'empêche pas la punition, mais il agit.
Ce rat ne fera aucun des accidents pathologiques de ceux de l'expérience précédente.
Cependant la société dans laquelle nous vivons ne permet pas toujours de lutter physiquement contre un adversaire, ou même de fuir. Reste qu'il faut éviter l'inhibition de l'action.
Comment ?
En agissant !
Sacré Cubitus !
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