J'ai reçu avec mon colis mensuel de comics, le numéro 49 de la série de DC, Supergirl.
Les quelques pages que j'avais pu voir depuis la reprise du titre par Sterling Gates au scénario et l'artiste Jamal Igle (au n° 34 je crois) semblaient très prometteuses.
Dans ce numéro, c'est Matt Camp au dessin et toujours Sterling Gates au scénario. J'aimerais aussi citer Nei Ruffino le coloriste, qui fait un superbe travail.
Or donc, je ne suis pas déçu par cette entrée en matière. Alors que j'arrive comme un cheveux sur la soupe, une histoire se termine (?) et une autre commence, dont je devine que des subplots avaient ensemencés les lecteurs réguliers, je ne suis pas perdu pour autant.
Au contraire je suis captivé et embobiné de la plus belle des façons. Ce qui n'est pas courant ces derniers temps, je veux dire prendre une histoire au débotté et ne pas être complètement largué.
Bon on l'est toujours un peu mais certaines séries son devenu sinon hermétiques extrêmement référencées et particulièrement décompressés. Ce qui en plus d'égarer le lecteur de passage, diffuse un ennui très ennuyeux.
Bon on l'est toujours un peu mais certaines séries son devenu sinon hermétiques extrêmement référencées et particulièrement décompressés. Ce qui en plus d'égarer le lecteur de passage, diffuse un ennui très ennuyeux.
Bref, voici un numéro qui donne en tout cas envie de suivre la série, et de se procurer les précedents.
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