.... Dans le cas de figure où vous vous trouveriez seul face à un couple de terroristes, un couple composé d'un homme et d'une femme, la règle voulait qu'on devait d'abord abattre la femme.
Pourquoi me direz-vous ?
Eh bien, À mains nues, le roman écrit par Paola Barbato contient un élément de réponse.
Roman particulièrement violent, d'un type dont je ne peux d'habitude aller jusqu'au bout, À mains nues dévoile aussi une romancière assez exceptionnelle, du moins dans le genre du thriller.
Dire qu'elle ne prend pas de gants n'est pas qu'un jeu de mots facile, mais surtout elle donne une perspective plutôt originale à ce qui n'aurait pu être qu'un étalage d'une violence inouïe et se montre aussi douée que l'un de ses personnages en matière de danse, mais contrairement à lui il ne s'agit pas de danses de salon.
J'ai découvert - si je puis dire - Paola Barbato via UT, une bande dessinée italienne publiée dans l'Hexagone par l'éditeur Mosquito, et dessinée par Corrado Roi. Et si je ne l'ai pas encore lue, j'ai d'ores et déjà attaqué le second roman de la romancière intitulé, Le fil rouge (sont troisième publié en Italie), également traduit par Anaïs Bokobza.
Ce qui m'amène à la réflexion que la romancière transalpine en a sacrément sous la semelle, et si UT (prévue en 3 tomes) est aussi bon que ses 2 romans publiés en France, ça risque de faire des étincelles.
D'autant que les planches de Corrado Roi sont magnifiques.
.... Or donc, À mains nues est bien plus subtil que peut le laisser penser l'inévitable comparaison avec Fight Club, ce dont ne se prive pas la quatrième de couverture de l'édition de poche, le genre de roman qui vous laisse KO non pas à cause de sa violence (excessive) mais grâce à sa finesse (inattendue).
Pourquoi me direz-vous ?
Eh bien, À mains nues, le roman écrit par Paola Barbato contient un élément de réponse.
Roman particulièrement violent, d'un type dont je ne peux d'habitude aller jusqu'au bout, À mains nues dévoile aussi une romancière assez exceptionnelle, du moins dans le genre du thriller.
Dire qu'elle ne prend pas de gants n'est pas qu'un jeu de mots facile, mais surtout elle donne une perspective plutôt originale à ce qui n'aurait pu être qu'un étalage d'une violence inouïe et se montre aussi douée que l'un de ses personnages en matière de danse, mais contrairement à lui il ne s'agit pas de danses de salon.
J'ai découvert - si je puis dire - Paola Barbato via UT, une bande dessinée italienne publiée dans l'Hexagone par l'éditeur Mosquito, et dessinée par Corrado Roi. Et si je ne l'ai pas encore lue, j'ai d'ores et déjà attaqué le second roman de la romancière intitulé, Le fil rouge (sont troisième publié en Italie), également traduit par Anaïs Bokobza.
Ce qui m'amène à la réflexion que la romancière transalpine en a sacrément sous la semelle, et si UT (prévue en 3 tomes) est aussi bon que ses 2 romans publiés en France, ça risque de faire des étincelles.
D'autant que les planches de Corrado Roi sont magnifiques.
.... Or donc, À mains nues est bien plus subtil que peut le laisser penser l'inévitable comparaison avec Fight Club, ce dont ne se prive pas la quatrième de couverture de l'édition de poche, le genre de roman qui vous laisse KO non pas à cause de sa violence (excessive) mais grâce à sa finesse (inattendue).
Je suis curieux sur le fait de d'abord abattre la femme. J'aime bien quand on décortique les méthodes policières, anti-terroristes, etc...
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