Si on m'avait proposé le pitch de The Terrifics, du moins celui que je devine : « Voilà, tu prends Mr. Terrific, Plastic Man, Metamorpho & Phantom Girl, genre la First Family de Stan & Jack, et tu nous ramènes ce bon vieux Tom Strong » ; j'aurais au moins soigné la réunion du quatuor en question. Eh bien là, pas vraiment !?
Jeff Lemire confie tout cela à une sorte de coïncidence bienveillante.
On voit ainsi Mr. terrific se pointer dans le laboratoire de Simon Stagg où une expérience se déroule (forcément) mal, et comme de bien entendu Metamorpho est de la partie. Heureuse initiative Mr. Terrific avait emmené Plastic Man. Le trio retrouve Phantom Girl dans une dimension alternative (les univers parallèles / alternatifs sont décidément devenus la tarte à la crème du genre) où elle se trouve en train de les attendre (à la demande de Jeff Lemire j'imagine).
Une elle idée toutefois, cependant déjà vue ailleurs (chez Warren Ellis notamment), mais tout de même : ils se retrouvent dans le corps d'un simili Galactus.
Dommage que DC Comis ait décidé de communiqué là-dessus en diffusant les planches dudit simili Galactus avant la sortie proprement dite du numéro #1 de la série. D'autant que là non plus, Jeff Lemire ne fait pas beaucoup d'effort pour amener la chose d'une manière attarctive. Si j'étais un type honnête, je dirais que l'ami Lemire est juste là pour cachetonner (à 2,99 $ le numéro).
Même en ces temps postmodernes, une copie presque carbone des Quatre Fantastiques plus une photocopie du « Dévoreur des mondes » ça commence à faire beaucoup (manque plus qu'on nous ponde un Surfeur d'Argent made in DC !).
The Terrifics de Jeff Lemire ressemble de plus en plus au travail d'un élève de 5ème qui pompe sur Wikipedia™ son devoir du lendemain. Sans y apporter beaucoup de travail personnel.
Fascicule à déjà très haute teneur fanique, le numéro se termine sur l'apparition de Tom Strong. C'était dans le contrat, n'y voyez rien de personnel.
.... Observations : Jeff Lemire se contente sur ce premier numéro du minimum syndical. Son travail laisse une grande place à la citation, mais ne semble présenter aucun travail personnel. Ses camarades : le dessinateur Ivan Reis, Joe Prado à l'encrage et Marcelo Maiolo le coloriste, ne sont heureusement pas dans le même cas.
Grâce à leur travail The Terrifics passe la barre du premier numéro, de justesse !
Note globale : 4,5 / 10
Dernière minute : L'ami RDB a lui aussi lu The Terrifics ; et il en tire un avis très différent du mien [Pour en savoir +]
Jeff Lemire confie tout cela à une sorte de coïncidence bienveillante.
On voit ainsi Mr. terrific se pointer dans le laboratoire de Simon Stagg où une expérience se déroule (forcément) mal, et comme de bien entendu Metamorpho est de la partie. Heureuse initiative Mr. Terrific avait emmené Plastic Man. Le trio retrouve Phantom Girl dans une dimension alternative (les univers parallèles / alternatifs sont décidément devenus la tarte à la crème du genre) où elle se trouve en train de les attendre (à la demande de Jeff Lemire j'imagine).
Une elle idée toutefois, cependant déjà vue ailleurs (chez Warren Ellis notamment), mais tout de même : ils se retrouvent dans le corps d'un simili Galactus.
Dommage que DC Comis ait décidé de communiqué là-dessus en diffusant les planches dudit simili Galactus avant la sortie proprement dite du numéro #1 de la série. D'autant que là non plus, Jeff Lemire ne fait pas beaucoup d'effort pour amener la chose d'une manière attarctive. Si j'étais un type honnête, je dirais que l'ami Lemire est juste là pour cachetonner (à 2,99 $ le numéro).
Même en ces temps postmodernes, une copie presque carbone des Quatre Fantastiques plus une photocopie du « Dévoreur des mondes » ça commence à faire beaucoup (manque plus qu'on nous ponde un Surfeur d'Argent made in DC !).
The Terrifics de Jeff Lemire ressemble de plus en plus au travail d'un élève de 5
Fascicule à déjà très haute teneur fanique, le numéro se termine sur l'apparition de Tom Strong. C'était dans le contrat, n'y voyez rien de personnel.
.... Observations : Jeff Lemire se contente sur ce premier numéro du minimum syndical. Son travail laisse une grande place à la citation, mais ne semble présenter aucun travail personnel. Ses camarades : le dessinateur Ivan Reis, Joe Prado à l'encrage et Marcelo Maiolo le coloriste, ne sont heureusement pas dans le même cas.
Grâce à leur travail The Terrifics passe la barre du premier numéro, de justesse !
Note globale : 4,5 / 10
Dernière minute : L'ami RDB a lui aussi lu The Terrifics ; et il en tire un avis très différent du mien [Pour en savoir +]
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