.... Série télévisée de son temps, Strike Back applique dans sa sixième saison une stricte parité hommes/femmes, dans la distribution des rôles principaux. Elle est également placée sous l'obédience d'une scénographie vidéoludique.
Restreint par la force des choses, et un canal émetteur-récepteur qui ne nous donnent pas la possibilité d'interagir avec le déroulement des épisodes, leur spectacle ressemble cependant à si méprendre à celui d'une partie de FPS (jeux de tir à la première personne).
Une impression qui va d'ailleurs plus loin, lorsque les péripéties s'apparentent à l'obtention de bonus. Comme l'enfant et la voiture (du deuxième épisode). Qu'entérine le choix de terrains d'opérations très évocateurs, comme lorsqu'il s'agit d'un immeuble en ruine, ou du camp d'entraînement de l’ennemi (premier épisode).
La trame élémentaire la plus formulaire semble également présider ; ce qui n'enlève au demeurant rien à l'attrait de cette série. Au contraire.
Captivante grâce au pouvoir d'attraction de la violence et de sa théâtralité, mais aussi grâce aux personnages qui, au travers d'un sens de l'humour affuté autant que nihiliste, compensent la crudité des missions de la Section 20.
.... J'avais laissé tomber Strike Back après la très bonne première saison, les deux premiers épisodes de la sixième semblent sceller nos retrouvailles.
Restreint par la force des choses, et un canal émetteur-récepteur qui ne nous donnent pas la possibilité d'interagir avec le déroulement des épisodes, leur spectacle ressemble cependant à si méprendre à celui d'une partie de FPS (jeux de tir à la première personne).
Une impression qui va d'ailleurs plus loin, lorsque les péripéties s'apparentent à l'obtention de bonus. Comme l'enfant et la voiture (du deuxième épisode). Qu'entérine le choix de terrains d'opérations très évocateurs, comme lorsqu'il s'agit d'un immeuble en ruine, ou du camp d'entraînement de l’ennemi (premier épisode).
La trame élémentaire la plus formulaire semble également présider ; ce qui n'enlève au demeurant rien à l'attrait de cette série. Au contraire.
Captivante grâce au pouvoir d'attraction de la violence et de sa théâtralité, mais aussi grâce aux personnages qui, au travers d'un sens de l'humour affuté autant que nihiliste, compensent la crudité des missions de la Section 20.
.... J'avais laissé tomber Strike Back après la très bonne première saison, les deux premiers épisodes de la sixième semblent sceller nos retrouvailles.
[À suivre ....]
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