« Juste Cause 1995 » est un film qui cache admirablement son jeu. Paul Armstrong , professeur à l'université de Harvard (MA), est abordé par une vieille dame qui lui remet une lettre. Elle vient de la part de son petit-fils, Bobby Earl , accusé du meurtre d'une enfant de 11 ans, et qui attend dans le « couloir de la mort » en Floride . Ce dernier sollicite l'aide du professeur, un farouche opposant à la peine capitale. Dès le départ, « Juste Cause 1995 » joue sur les contradictions. Ainsi, Tanny Brown , « le pire flic anti-noir des Everglades », dixit la grand-mère de Bobby Earl , à l'origine de l'arrestation, est lui-même un africain-américain. Ceci étant, tout le film jouera à remettre en cause certains a priori , tout en déconstruisant ce que semblait proposer l'incipit du film d' A rne G limcher. La déconstruction en question est ici à entendre en tant que la mise en scène des contradictions de situations dont l'évidence paraît pour
je connaissais la justice league tiré de l' univers parallèle de fringe, mais où est-ce que tu as trouvé les autres ?
RépondreSupprimerPour la 2, la 3 et la 5 il y a un lien sur le nom sous la couverture. Pour la trois j'ai manqué mon coup, c'est ici : http://braveandboldlost.blogspot.com/2010/10/tintin.html
RépondreSupprimerThe Brave and the Wold Newton Universe ! ^^
RépondreSupprimercomplétement déments les liens, vu le temps que j' y ai passé sans comprendre l' aglais, je pourrais y passer des heures
RépondreSupprimeren voyant certaines couvertures de superman, je me demande ce que ça donnerait si quelqu' un essayait de combiner toutes les périodes les plus contradictoires de superman , comme morrison l' a fait sur batman
remarque morrison nous a pondu all star superman qui réenchantait le personnage mais est hors continuité