Premier tome d'une trilogie et de trois nouvelles complémentaires, lesquelles comme les deux tomes suivants n'ont pas été traduites, « D'Obsidienne et de sang » est un roman policier qui commence comme une « énigme en chambre close » mais sise au XVe siècle de l'empire aztèque.
Toutefois, l'angle choisi par Aliette de Bodard en fait surtout un roman de Fantasy, et l'énigme en question y est essentiellement le moteur de l'intrigue.
Elle nous permet ainsi de connaitre les us et coutumes de la majestueuse Tenochtitlan, capitale de l’empire aztèque, grâce à l'enquête d'Acatl, le Grand Prêtre des Morts. Et d'enchaîner les obstacles qui ne manquent pas de se dresser sur la route de ce « détective » récalcitrant.
Dépaysant, mouvementé, « D'Obsidienne et de sang » est un roman qui rempli parfaitement le contrat que l'attractive couverture de Larry Rostant promet.
Commercialisé par les éditions ECLIPSE™ puis réédité par l'éditeur Panini© (surtout connu pour ses bandes dessinées), ce premier tome a souffert de l'arrêt de la collection en 2017, laquelle a pourtant proposé pas mal de petites pépites pendant ses 7 ans d'existence. Je ne peux toutefois pas m'empêcher de regretter que Panini© n'ait pas plutôt publié le deuxième tome, à la place du premier, déjà sorti deux ans plus tôt.
Pas sûr donc que la suite arrive un jour, compte tenu qu'il est, semble-t-il, assez difficile de relancer une série abandonnée. Le Livre des martyrs de Steven Erikson en étant, à ce jour, le plus parfait contre-exemple.
Si « D'Obsidienne et de sang » ne nécessite donc pas d'en lire les suites, l'envie ne manque pas. Aliette de Bodard est en effet une romancière qui visiblement connaît ses classiques, et dont le désir de bien faire aboutit à un résultat tout ce qu'il y a de plus réussi.
Toutefois, l'angle choisi par Aliette de Bodard en fait surtout un roman de Fantasy, et l'énigme en question y est essentiellement le moteur de l'intrigue.
Elle nous permet ainsi de connaitre les us et coutumes de la majestueuse Tenochtitlan, capitale de l’empire aztèque, grâce à l'enquête d'Acatl, le Grand Prêtre des Morts. Et d'enchaîner les obstacles qui ne manquent pas de se dresser sur la route de ce « détective » récalcitrant.
Dépaysant, mouvementé, « D'Obsidienne et de sang » est un roman qui rempli parfaitement le contrat que l'attractive couverture de Larry Rostant promet.
Commercialisé par les éditions ECLIPSE™ puis réédité par l'éditeur Panini© (surtout connu pour ses bandes dessinées), ce premier tome a souffert de l'arrêt de la collection en 2017, laquelle a pourtant proposé pas mal de petites pépites pendant ses 7 ans d'existence. Je ne peux toutefois pas m'empêcher de regretter que Panini© n'ait pas plutôt publié le deuxième tome, à la place du premier, déjà sorti deux ans plus tôt.
Pas sûr donc que la suite arrive un jour, compte tenu qu'il est, semble-t-il, assez difficile de relancer une série abandonnée. Le Livre des martyrs de Steven Erikson en étant, à ce jour, le plus parfait contre-exemple.
Si « D'Obsidienne et de sang » ne nécessite donc pas d'en lire les suites, l'envie ne manque pas. Aliette de Bodard est en effet une romancière qui visiblement connaît ses classiques, et dont le désir de bien faire aboutit à un résultat tout ce qu'il y a de plus réussi.
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