49eme nouvelle lue dans le cadre du défi-lecture, lancé par l'un de mes plus récents blogpotes, où toute idée de compétition est, bien entendu, absente ; « Maman m'a dit de ne pas venir » est un texte dont je n'ai perçu que l'aspect divertissant.
L'histoire repose sur un subterfuge anecdotique, et ses 40 pages se lisent uniquement sur le talent de conteur de son auteur.
Paul Di Filippo, puisque c'est de lui qu'il s'agit est un très bon nouvelliste, ces deux recueils traduits (La trilogie steampunk et Pages perdues) en sont une preuve suffisante.
« Je détestais les fêtes ! Et voilà que j'étais condamné à y passer le reste de mon existence dénaturée, comme un Hollandais Volant du circuit social. »
« Maman m'a dit de ne pas venir », qui repose sur un scénario capable de tenir sur un confetti, accouche cependant d'une très sympathique histoire. Une sorte de conte joyeux et inoffestif.
Publiée à l'origine en 1993, dans la revue américaine Amazing Stories, que l'illustration ci-dessus de Jill Beauman illustrait déjà, elle s'est retrouvée au sommaire de Disco 2000, un recueil commercialisé par J'ai Lu™ en 2001.
Difficile pour moi de vous en recommander la lecture, puisque la nouvelle en question est, pour l'instant, la seule que j'ai lue sans m'ennuyer.
« Maman m'a dit de ne pas venir », toute aussi sympathique qu'elle soit, n'est toutefois pas celle que je ferais lire à quelqu'un qui voudrait découvrir Paul Di Filippo.
Elle fait plutôt partie des nouvelles destinées aux lecteurs déjà convaincus par cet auteur.
L'histoire repose sur un subterfuge anecdotique, et ses 40 pages se lisent uniquement sur le talent de conteur de son auteur.
Paul Di Filippo, puisque c'est de lui qu'il s'agit est un très bon nouvelliste, ces deux recueils traduits (La trilogie steampunk et Pages perdues) en sont une preuve suffisante.
« Je détestais les fêtes ! Et voilà que j'étais condamné à y passer le reste de mon existence dénaturée, comme un Hollandais Volant du circuit social. »
« Maman m'a dit de ne pas venir », qui repose sur un scénario capable de tenir sur un confetti, accouche cependant d'une très sympathique histoire. Une sorte de conte joyeux et inoffestif.
Publiée à l'origine en 1993, dans la revue américaine Amazing Stories, que l'illustration ci-dessus de Jill Beauman illustrait déjà, elle s'est retrouvée au sommaire de Disco 2000, un recueil commercialisé par J'ai Lu™ en 2001.
Difficile pour moi de vous en recommander la lecture, puisque la nouvelle en question est, pour l'instant, la seule que j'ai lue sans m'ennuyer.
« Maman m'a dit de ne pas venir », toute aussi sympathique qu'elle soit, n'est toutefois pas celle que je ferais lire à quelqu'un qui voudrait découvrir Paul Di Filippo.
Elle fait plutôt partie des nouvelles destinées aux lecteurs déjà convaincus par cet auteur.
Commentaires
Enregistrer un commentaire