Échappant à toutes mes analyses, la longue novelette, dixit la quatrième de couverture du deuxième hors-série d'Une Heure-Lumière©, intitulée « Isabel des feuilles mortes » de Ian R. MacLeod, est un texte particulièrement envoûtant.
Sans Mater dolorosa excessive, alors que le récit s'y prête pourtant, le natif de Solihul (RU) brosse l'essentiel d'une vie en une quarantaine de pages poignantes.
Paradoxalement la force du texte tient aussi à l'oubli d'une personnage sans qui cette vie n'aurait pas été ce qu'elle est finalement devenue.
Il était une fois ... « Isabel des feuilles mortes » est un conte magnifiquement traduit par Michelle Charrier.
Sa valeur brille d'autant plus qu'il était offert par les éditions Le Bélial' via leur deuxième catalogue de l'excellente collection Une Heure-Lumière©.
Une collection qui propose par ailleurs un autre texte de Ian R. MacLeod, lequel se déroule dans le même univers, celui des « Dix Mille et Un Mondes », de la novelette en question, paru sous le titre de Poumon vert.
Ce n'est certainement pas un hasard si ce court texte, qui inaugure en 2001 les « Dix Mille et Un Mondes », raconte la vie d'une Chanteuse de l'Aube, alors que Les Milles et Une Nuits tic-plic avec insistance à la frontière de notre entendement.
Évocatrice, sensible, « Isabel des feuilles mortes » est une histoire qu'il ne faut absolument pas manquer de lire.
Sans Mater dolorosa excessive, alors que le récit s'y prête pourtant, le natif de Solihul (RU) brosse l'essentiel d'une vie en une quarantaine de pages poignantes.
Paradoxalement la force du texte tient aussi à l'oubli d'une personnage sans qui cette vie n'aurait pas été ce qu'elle est finalement devenue.
Il était une fois ... « Isabel des feuilles mortes » est un conte magnifiquement traduit par Michelle Charrier.
Sa valeur brille d'autant plus qu'il était offert par les éditions Le Bélial' via leur deuxième catalogue de l'excellente collection Une Heure-Lumière©.
Une collection qui propose par ailleurs un autre texte de Ian R. MacLeod, lequel se déroule dans le même univers, celui des « Dix Mille et Un Mondes », de la novelette en question, paru sous le titre de Poumon vert.
Ce n'est certainement pas un hasard si ce court texte, qui inaugure en 2001 les « Dix Mille et Un Mondes », raconte la vie d'une Chanteuse de l'Aube, alors que Les Milles et Une Nuits tic-plic avec insistance à la frontière de notre entendement.
Évocatrice, sensible, « Isabel des feuilles mortes » est une histoire qu'il ne faut absolument pas manquer de lire.
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