Après deux épisodes supplémentaires, Incorporated confirme tout le bien que j'en pensais (Pour en savoir +).
.... L'arrière-plan socio-politique qui se précise n'est pas sans rappeler l'excellente série de Greg Rucka & Michael Lark, Lazarus (publiée par Image et par Glénat), tout en restant à bonne distance du traitement que le comic book a choisi.
La personnalité respective des différents personnages se précise, et le scénario n'hésite pas à ouvrir plusieurs intrigues de front, ce qui donne un rythme sans temps mort. D'autant que chaque épisode est finalement assez court : une quarantaine de minutes, récapitulation comprise. Inutile de vous dire que le temps file à toute allure.
S'il y a un paquet de bonnes idées à chaque fois, l'une d'entre elles est particulièrement efficace.
Il s'agit de rythmer l'épisode avec de fausses publicités pour tel ou tel produit ou service ; non seulement certains d'entre eux font froid dans le dos, mais en plus cela donne un aperçu du monde dans lequel vivent les personnages de manière très immersive. Un monde tout aussi réfrigérant d'ailleurs.
Plutôt paradoxal lorsqu'on songe que la situation de la planète est due au réchauffement climatique.
L'usage des flashback, qui pour l'instant ne concerne que la zone rouge fonctionne un peu dans le même but, en plus d'épaissir certains personnages.
.... Bref, une plutôt très bonne série dont la découverte me fait dire que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.
.... L'arrière-plan socio-politique qui se précise n'est pas sans rappeler l'excellente série de Greg Rucka & Michael Lark, Lazarus (publiée par Image et par Glénat), tout en restant à bonne distance du traitement que le comic book a choisi.
La personnalité respective des différents personnages se précise, et le scénario n'hésite pas à ouvrir plusieurs intrigues de front, ce qui donne un rythme sans temps mort. D'autant que chaque épisode est finalement assez court : une quarantaine de minutes, récapitulation comprise. Inutile de vous dire que le temps file à toute allure.
L'agent Bucky est ton meilleur ami |
Il s'agit de rythmer l'épisode avec de fausses publicités pour tel ou tel produit ou service ; non seulement certains d'entre eux font froid dans le dos, mais en plus cela donne un aperçu du monde dans lequel vivent les personnages de manière très immersive. Un monde tout aussi réfrigérant d'ailleurs.
Plutôt paradoxal lorsqu'on songe que la situation de la planète est due au réchauffement climatique.
L'usage des flashback, qui pour l'instant ne concerne que la zone rouge fonctionne un peu dans le même but, en plus d'épaissir certains personnages.
.... Bref, une plutôt très bonne série dont la découverte me fait dire que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.
(À suivre ....)
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