C'est un « tweet » de J ack C arr (l'auteur de Terminal List ), qui souhaitait un bon anniversaire à N elson D e M ille, qui a aiguisé ma curiosité. Si j'avais - je crois ? - vu une adaptation cinématographique de l'un des romans de D e M ille ( Le déshonneur d'Ann Campbell ), je n'en avais en revanche jamais lus aucun. Mon choix s'est donc porté sur L'Île des fléaux , roman disponible à la médiathèque, et premier d'une série dont le personnage principal est un certain John Corey . Mal m'en a pris. Je crois que c'est la pire traduction qu'il m'a été donnée de lire. Dès les premières pages on trouve un « détective », des « officiers », en lieu et place d'un inspecteur et d'agents. Un peu plus loin mais guère plus, le traducteur confond le canon d'une arme et son barillet, et cerise sur le gâteau (c'est le cas de le dire), construit une maison en pain d'épices ( gingerbread qui pour le coup a ici l
Hé ! Toi aussi, tu as besoin d'obtenir un numéro de commission paritaire ?
RépondreSupprimervouspouvezrépéterlaquestion ?
RépondreSupprimerAttends... tu connais pas la légende ?
RépondreSupprimerJe pense que notre cher Ed fait allusion au quota de pages de variétés imposé aux revues destinées à la jeunesse par la loi (scélérate) de 1949 afin qu'elles puissent obtenir le numéro de commission paritaire indispensable à leur diffusion. Ces pages que tu nous montres sont un exemple de ces pages de variétés.
RépondreSupprimerVoilà.
Merci de votre attention.
Vous pouvez ranger vos chaises et sortir sans désordre.