Ce roman m'a été recommandé par Duane Swierczynski [Pour en avoir +]. Jeune lecteur encore adolescent, assidu de Sf et de fantastique, Swierczynski est entré dans le monde du polar et du thriller, grâce au roman de Robert Ferrigno.
« Le pot au noir » commence comme un roman policier tout ce qu'il y a de plus conventionnel : une disparition inquiétante, un suspect tout ce qu'il y a de crédible, et un duo de flics. L'ambiance rappelle celle de la série « Miami Vice », mais l'histoire se passe sur la côte Ouest des U.S.A..
D'une certaine manière, les premiers chapitres pourraient desservir ce roman, en en cachant ce qui fera son originalité, sous le vernis du tout venant.
Sauf que dès le départ, Robert Ferrigno, traduit par Hubert Galle pour les éditions Flammarion, a la bonne idée de peupler son ouvrage de personnages atypiques qui réussissent à captiver l'attention. La quatrième de couverture ne se prive d'ailleurs pas de l'annoncer (même si je ne m'en suis rendu compte qu'après avoir lu le roman concerné).
« Le pot au noir » dessine néanmoins rapidement un scénario dont tout laisse croire qu'il est moins simple que ce que croient les enquêteurs, et secrète un nouvel horizon d'attente, au travers de flashbacks, et d’événements périphériques, qui vous agrippe pour ne plus vous lâcher. Plus suggéré que clairement écrit, l'épilogue, tout aussi étonnant qu'il soit, n'en paraît pourtant qu'allant de soi.
Un joli tour de force.
« Le pot au noir » est un récit initiatique (aux dépends de l'initié), la description d'une tentative de mariage alchimique un brin tordu. Et un sacrément bon roman noir.
« Le pot au noir » commence comme un roman policier tout ce qu'il y a de plus conventionnel : une disparition inquiétante, un suspect tout ce qu'il y a de crédible, et un duo de flics. L'ambiance rappelle celle de la série « Miami Vice », mais l'histoire se passe sur la côte Ouest des U.S.A..
D'une certaine manière, les premiers chapitres pourraient desservir ce roman, en en cachant ce qui fera son originalité, sous le vernis du tout venant.
Sauf que dès le départ, Robert Ferrigno, traduit par Hubert Galle pour les éditions Flammarion, a la bonne idée de peupler son ouvrage de personnages atypiques qui réussissent à captiver l'attention. La quatrième de couverture ne se prive d'ailleurs pas de l'annoncer (même si je ne m'en suis rendu compte qu'après avoir lu le roman concerné).
« Le pot au noir » dessine néanmoins rapidement un scénario dont tout laisse croire qu'il est moins simple que ce que croient les enquêteurs, et secrète un nouvel horizon d'attente, au travers de flashbacks, et d’événements périphériques, qui vous agrippe pour ne plus vous lâcher. Plus suggéré que clairement écrit, l'épilogue, tout aussi étonnant qu'il soit, n'en paraît pourtant qu'allant de soi.
Un joli tour de force.
« Le pot au noir » est un récit initiatique (aux dépends de l'initié), la description d'une tentative de mariage alchimique un brin tordu. Et un sacrément bon roman noir.
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