Je ne crois pas pouvoir rêver mieux, comme premier rendez-vous avec Liu Cixin, que sa nouvelle intitulée « Avec ses yeux ». Illustrée ici par Romain Étienne.
Traduite par Gwennaël Gaffric, elle a été couronnée par le Prix des lecteurs 2017 de la revue BIFROST*. Et au moment de sa sortie en Chine, en 1999, par le Prix Galaxy. Autrement dit, le prix littéraire chinois le plus prestigieux en matière de science-fiction.
Twist ou chute, j'aime qu'une nouvelle me surprenne. Si en plus elle m’embarque sur un terrain complétement inattendu ....
Celle de Liu Cixin est de cette trempe.
En plus d'être 100% science-fictive, si j'en crois la définition que donnait Theodore Sturgeon du genre.
Et puis ....
Avec ses mots, Liu Cixin rend possible au lecteur une expérience comparable à celle que l'employé au sol du centre de navigation transmet, avec ses yeux, à la jeune femme de la nouvelle. En y laissant (en ce qui me concerne) une aussi belle empreinte.
Chapeau l'artiste !
Une nouvelle qui rentre, pile-poile, dans le Projet Maki©
__________
*« Avec ses yeux » est au sommaire de la quatre-vingt-septième livraison de la revue BIFROST.
Traduite par Gwennaël Gaffric, elle a été couronnée par le Prix des lecteurs 2017 de la revue BIFROST*. Et au moment de sa sortie en Chine, en 1999, par le Prix Galaxy. Autrement dit, le prix littéraire chinois le plus prestigieux en matière de science-fiction.
Twist ou chute, j'aime qu'une nouvelle me surprenne. Si en plus elle m’embarque sur un terrain complétement inattendu ....
Celle de Liu Cixin est de cette trempe.
En plus d'être 100% science-fictive, si j'en crois la définition que donnait Theodore Sturgeon du genre.
Et puis ....
Avec ses mots, Liu Cixin rend possible au lecteur une expérience comparable à celle que l'employé au sol du centre de navigation transmet, avec ses yeux, à la jeune femme de la nouvelle. En y laissant (en ce qui me concerne) une aussi belle empreinte.
Chapeau l'artiste !
Une nouvelle qui rentre, pile-poile, dans le Projet Maki©
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*« Avec ses yeux » est au sommaire de la quatre-vingt-septième livraison de la revue BIFROST.
Je dois l'avoir dans ma PAL, il va falloir que j'aille y jeter un oeil, tu m'intrigues avec ta chronique !
RépondreSupprimerUne très chouette lecture.
SupprimerJe ne l'avais pas vu cette nouvelle ! Merci pour la chronique, je vais essayer de la récupérer ;)
RépondreSupprimerSi jamais tu ne la récupères pas, je l'ai en format électronique (epub), et je me ferai un plaisir de la partager.
Supprimerça a l'air super chouette ! je peux te piquer le format numérique?
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