... Ça commence comme une histoire de super-héros, évidemment me direz-vous, cependant vous anticipez, du fait même de ma précision d'un changement de contexte. C'est pas faux.
Or donc, Dark Reign Œil-de-Faucon s'inscrit dans l'univers Dark Reign qui est le "nouvel univers Marvel" du moins au début de l'année 2010. Dark Reign semble être le concept des Thunderbolts imaginé par Busiek & Bagley à la fin des années 90 où une équipe de super-vilains se faisaient passer pour des super-héros, un concept ici à la "puissance 10".
On apprend donc dans cette histoire que le S.H.I.E.L.D, l'organisation para-militaire de l'univers Marvel a été dissoute pour laisser place au H.A.M.M.E.R, organisation commandée par Norman Osborn, l'homme qui je vous le rappelle est en partie responsable de la mort de Gwen Stacy, le premier amour de Peter Parker (alias Spiderman). Ouais, c'est Dark Reign pas Oui-oui au Pays des Jouets, faisez pas les innocents. Ce même Osborn est aussi le chef des Vengeurs.
... Cette histoire s'intéresse principalement à Œil-de-Faucon, ou plutôt à celui qui se cache sous son masque, et ça démarre plutôt bien, jugez plutôt :
Un journaliste s'intéresse au dessous des affaires d'Osborne, un journaliste intrépide qui se voit confier par une source anonyme des éléments susceptibles de mettre à mal les manigances du patron du H.A.M.M.E.R (vous aurez remarquez en passant la symbolique de l'acronyme de la nouvelle organisation par rapport à la précédente : le marteau (hammer) / le bouclier (shield)). Parallèlement Œil-de-Faucon semble l'objet d'une cabale au moment où ses relations avec Osborn deviennent extrêmement tendues du fait de ses penchants de tueur psychopathe. Les penchants d'Oeil-de-Faucon, Norman lui se soigne.
Un scénario, genre Watergate dans une Amérique sous l'emprise d'un super-vilain qui provoque un joli un plaisir de lecture durant quatre épisode . Je dis ça mais je suis un bon client lorsqu'il s'agit de mélanger les "genres", je n'aime rien de plus qu'une esthétique de la fusion pour reprendre une expression de Francis Valéry. Mais revenons à nos moutons, ....reste la conclusion qui m'a semblé certes sympathique, mais très loin de ce que à quoi je m'attendais. Ce dernier épisode m'a donné l'impression de vouloir en terminer rapidement avec ce qui avait été patiemment construit. Dommage
Un scénario, genre Watergate dans une Amérique sous l'emprise d'un super-vilain qui provoque un joli un plaisir de lecture durant quatre épisode . Je dis ça mais je suis un bon client lorsqu'il s'agit de mélanger les "genres", je n'aime rien de plus qu'une esthétique de la fusion pour reprendre une expression de Francis Valéry. Mais revenons à nos moutons, ....reste la conclusion qui m'a semblé certes sympathique, mais très loin de ce que à quoi je m'attendais. Ce dernier épisode m'a donné l'impression de vouloir en terminer rapidement avec ce qui avait été patiemment construit. Dommage
En lisant la 3ième de couverture, si d'aventure vous vous embarquez dans ce Marvel Heroes Extra n°3, vous apprendrez qu'il y a eu un délai de six mois entre le quatrième et le cinquième épisode. Cela explique-t-il cette fin abrupte qui d'ailleurs n'existe peut-être que dans mon esprit ?
Une question qui s'ajoute à celles de cette mini série restées sans réponse.
tu n' as pas précisé que c' était le tireur ( ennemi juré de daredevil ) qui officiait à la place de clint barton chez les dark avengers, oubli ? ou est-ce du au fait que tu ne suis plus beaucoup les séries marvel?
RépondreSupprimerDisons que j'essayai de garder un peu de mystère autour de l'histoire [-_ô], pour ceux qui ne l'auraient pas (encore)lue.
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