... Comme le propose Gaston Bachelard dans l'extrait électroacoustique qui ouvre ce billet, les quatre étudiants qui vont expérimenter le rêve lucide sous la férule du professeur Burns,le feront sans drogue aucune.
Graham Joyce commence son histoire par un prologue, et je défie quiconque de lâcher ce roman après l'avoir commencé. Captivé par cette entrée en matière j'ai lu d'une traite L'Enfer du rêve, luttant contre le sommeil pour le finir (sans rire).
Publié dans la collection Terreur de Pocket, ce court roman de 250 pages inocule lentement mais sûrement une atmosphère angoissante, d'autant plus prégnante que l'auteur anime des personnages qui ne laissent pas indifférents et que la raison pour laquelle Honora, Lee, Ella et Brad sont rattrapés par leur passé ne manque pas d'originalité.
Or donc, si L'Enfer du Rêve est mon premier Graham Joyce, il ne sera pas le dernier !
... Pour terminer laissez-moi vous proposer l'évocation d'un rêve par Jacques Bergier ...
... Pour terminer laissez-moi vous proposer l'évocation d'un rêve par Jacques Bergier ...
C'est un signe. Entre toi et Pat Marcel, vous vous êtes donné le mot ?
RépondreSupprimerDans tes rêves, mon ami !
RépondreSupprimerCa tombe bien que ce soit ton premier, c'est aussi le sien! Je conseille "L'intercepteur de cauchemars" et "Mémoires d'un Maître faussaire" (ou "Sorcière ma soeur"), mais en fait, j'adore tous les romans de Joyce que j'ai lu. Il a un chic assez bluffant de nourrir de façon très naturelle le fantastique de ses personnages avec leur vécu.
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