…. Le mort-vivant, le zombie, n’a jamais été aussi prolifique que ces dernières années.
Accommodé à toutes les sauces possibles et imaginables, sur une vaste gamme de supports (télévision, cinéma, BD, comic book, manga, etc.) son succès semble tout aussi durable que sa non-vie le lui permettra.
Fort de cette exposition tous azimuts, le duo composé de Darko Macan & d'Igor Kordey, dont ce n’est pas la première rencontre, (Pour en savoir +), nous en donne sa propre déclinaison en quatre tomes d’une série intitulée Nous, les morts (éditions Delcourt).
Uchronie outrancière, cette réécriture de l’histoire (forcément), prend à rebrousse poil nombre de jalons historiques incontournables qui ont fait de l’humanité de qu’elle est (mais assez paradoxalement pour un résultat identique) ; est aussi un prétexte à s’intéresser à la grammaire du genre (et au devenir du genre humains, rien que ça !).
Fable gargantuesque aux personnages hauts en couleurs, et aux péripéties tout simplement incroyables, Nous, les morts nécessite de ne pas se laisser limiter par les frontière de notre propre imagination mais de se laisser porter par celle de Darko Macan.
Une imagination à laquelle Igor Kordey – au sommet de son art comme jamais - donne forme & force grâce à des planches qui traduisent la folie et l’absurdité d’une partie de l’humanité (ou du moins de ce en quoi elle s’est transformée) vouée à se battre, et surtout à supprimer toute différences. Lequel Kordey est fort talentueusement soutenu par les magnifiques couleurs de Yana.
Une marche en avant dont toute ressemblance avec les temps qui courent ne serait pas pure coïncidence.
…. Réjouissant, ou pour paraphraser Pierre Desproges : amusons-nous de nous-mêmes en attendant la mort.
Accommodé à toutes les sauces possibles et imaginables, sur une vaste gamme de supports (télévision, cinéma, BD, comic book, manga, etc.) son succès semble tout aussi durable que sa non-vie le lui permettra.
Fort de cette exposition tous azimuts, le duo composé de Darko Macan & d'Igor Kordey, dont ce n’est pas la première rencontre, (Pour en savoir +), nous en donne sa propre déclinaison en quatre tomes d’une série intitulée Nous, les morts (éditions Delcourt).
Uchronie outrancière, cette réécriture de l’histoire (forcément), prend à rebrousse poil nombre de jalons historiques incontournables qui ont fait de l’humanité de qu’elle est (mais assez paradoxalement pour un résultat identique) ; est aussi un prétexte à s’intéresser à la grammaire du genre (et au devenir du genre humains, rien que ça !).
Fable gargantuesque aux personnages hauts en couleurs, et aux péripéties tout simplement incroyables, Nous, les morts nécessite de ne pas se laisser limiter par les frontière de notre propre imagination mais de se laisser porter par celle de Darko Macan.
Une imagination à laquelle Igor Kordey – au sommet de son art comme jamais - donne forme & force grâce à des planches qui traduisent la folie et l’absurdité d’une partie de l’humanité (ou du moins de ce en quoi elle s’est transformée) vouée à se battre, et surtout à supprimer toute différences. Lequel Kordey est fort talentueusement soutenu par les magnifiques couleurs de Yana.
Une marche en avant dont toute ressemblance avec les temps qui courent ne serait pas pure coïncidence.
…. Réjouissant, ou pour paraphraser Pierre Desproges : amusons-nous de nous-mêmes en attendant la mort.
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