…. Si les deux premiers numéros, additionnés au titre lui-même, me laissaient entendre que la série traiterait de problèmes sociaux contemporains, la suite allait me donner tort.
• Occupy Avengers #3-4 :
Toujours dessinés par Carlos Pacheco, ces 2 épisodes introduisent, à la manière de ce qui se faisait dans les Seventies à la Marvel, deux personnages dont David F. Walker a eu brièvement la charge (dans la mini-série Nighthawk dont je reparlerai) : Tilda Johnson & Nighthawk.
Sur fond de « Marvel team-up » ou de « Marvel Two-In-One » qui rappelleront des souvenirs aux lecteurs de la revue Special Strange (éditions LUG), Clint Barton & Red Wolf se penchent sur un trafique d’androïdes (LMD).
• Ocuppy Avengers #5-7 :
Après quatre numéros, l’impression que la série se cherche s’est installée.
Les trois suivants chassent définitivement l’aspect « relevant comics », et prennent plutôt la tournure d’une chasse à l’œuf de Pâques pour geek.
Si le scénario de ces trois épisodes ne casse pas trois pas à un canard, l’arrivée de Gabriel Hernandez Walta et de Jordie Bellaire donne une plus-value dont la série arrivera difficilement à se passer si elle veut continuer d'être lue.
Bilan :
.... Si ce n’était pour Walta & Bellaire, qui étaient prévus dès le début, je crois bien que j’aurais laissé tomber la série dès le 4ème numéro.
Si de mon point de vue David F. Walker n’est pas un mauvais scénariste, il ne donne pas beaucoup de souffle à ses histoires.
Très linéaires, leur vacuité a tendance à prendre le pas sur le reste.
Si son travail au niveau des récitatifs est très agréable, le reste manque cruellement d’ambition.
Il expliquait dans un entretien que le staff de la Marvel voyait Occupy Avengers comme une sorte de A-Team (L’Agence tout risque), force est de dire que de ce côté-là le contrat est rempli.
Occupy Avengers est presque aussienfantine simpliste que L’Agence tout risque. Du moins la version française dont je me souviens.
Ni bon ni mauvais, Occupy Avengers est déjà devenu un titre quelconque.
Dommage.
SPOILERS |
• Occupy Avengers #3-4 :
Toujours dessinés par Carlos Pacheco, ces 2 épisodes introduisent, à la manière de ce qui se faisait dans les Seventies à la Marvel, deux personnages dont David F. Walker a eu brièvement la charge (dans la mini-série Nighthawk dont je reparlerai) : Tilda Johnson & Nighthawk.
Sur fond de « Marvel team-up » ou de « Marvel Two-In-One » qui rappelleront des souvenirs aux lecteurs de la revue Special Strange (éditions LUG), Clint Barton & Red Wolf se penchent sur un trafique d’androïdes (LMD).
Mais où est Mr T ? |
Après quatre numéros, l’impression que la série se cherche s’est installée.
Les trois suivants chassent définitivement l’aspect « relevant comics », et prennent plutôt la tournure d’une chasse à l’œuf de Pâques pour geek.
Si le scénario de ces trois épisodes ne casse pas trois pas à un canard, l’arrivée de Gabriel Hernandez Walta et de Jordie Bellaire donne une plus-value dont la série arrivera difficilement à se passer si elle veut continuer d'être lue.
K 2000 + Transformers : Un revival des années Reagan ? |
.... Si ce n’était pour Walta & Bellaire, qui étaient prévus dès le début, je crois bien que j’aurais laissé tomber la série dès le 4ème numéro.
Si de mon point de vue David F. Walker n’est pas un mauvais scénariste, il ne donne pas beaucoup de souffle à ses histoires.
Très linéaires, leur vacuité a tendance à prendre le pas sur le reste.
Si son travail au niveau des récitatifs est très agréable, le reste manque cruellement d’ambition.
Il expliquait dans un entretien que le staff de la Marvel voyait Occupy Avengers comme une sorte de A-Team (L’Agence tout risque), force est de dire que de ce côté-là le contrat est rempli.
Occupy Avengers est presque aussi
Ni bon ni mauvais, Occupy Avengers est déjà devenu un titre quelconque.
Dommage.
Dommage pour cette réorientation de la série. Duc coup, je feuillèterai le premier tome avant de me décider pour la lecture. Merci pour ces informations.
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