••• Au sommaire du 91ème numéro de Bifrost, dit « spécial fictions », La Mort de John Smith appartient, selon son auteur à « l'Ère de la fusion ».
Autrement dit un cadre galactique qui lui permet d'inclure n'importe quelle histoire de SF, mais surtout en y combinant les genres : fantastique, polar, fantasy, etc..
J'avais lu, il y a quelque temps déjà, une nouvelle appartenant à ce cadre galactique dans l'anthologie Détectives de l'impossible. Elle mettait déjà en scène Herbie-V Quinn, un « sherlock privé », c'est-à-dire une détective privé, pour le moins atypique.
Ère de la fusion oblige, La Mort de John Smith mélange donc les genres, et donne à lire une nouvelle où Michel Pagel maîtrise son récit de bout en bout.
Et ce n'est pas le moindre de ses talents que de réussir à nous captiver avec des ingrédients qui apparaîtront somme toute, très communs aux lecteurs aguerris. Mais si la fond de sauce est connu, son savoir-faire de romancier fait ici toute la différence.
Le plaisir est même double, en ce sens que la mécanique du texte affleure, sans pour autant nous en faire sortir, et qu'elle captive tout autant que l'histoire elle-même. Bluffant !
À lire en dégustant un verre de Sangarti©™
••• Dans le texte de présentation de ladite nouvelle, on nous laisse entendre qu'il serait tout à fait envisageable de réunir les différents textes, parus ici et là, estampillés « Ère de la fusion », et d'y adjoindre une poignée d'inédits ; en un seul volume.
Si ce recueil devait paraître, j'en serai sans aucun doute. Et si vous lisez La Mort de John Smith, je gage que vous aussi !
Autrement dit un cadre galactique qui lui permet d'inclure n'importe quelle histoire de SF, mais surtout en y combinant les genres : fantastique, polar, fantasy, etc..
J'avais lu, il y a quelque temps déjà, une nouvelle appartenant à ce cadre galactique dans l'anthologie Détectives de l'impossible. Elle mettait déjà en scène Herbie-V Quinn, un « sherlock privé », c'est-à-dire une détective privé, pour le moins atypique.
Ère de la fusion oblige, La Mort de John Smith mélange donc les genres, et donne à lire une nouvelle où Michel Pagel maîtrise son récit de bout en bout.
Et ce n'est pas le moindre de ses talents que de réussir à nous captiver avec des ingrédients qui apparaîtront somme toute, très communs aux lecteurs aguerris. Mais si la fond de sauce est connu, son savoir-faire de romancier fait ici toute la différence.
Le plaisir est même double, en ce sens que la mécanique du texte affleure, sans pour autant nous en faire sortir, et qu'elle captive tout autant que l'histoire elle-même. Bluffant !
À lire en dégustant un verre de Sangarti©™
••• Dans le texte de présentation de ladite nouvelle, on nous laisse entendre qu'il serait tout à fait envisageable de réunir les différents textes, parus ici et là, estampillés « Ère de la fusion », et d'y adjoindre une poignée d'inédits ; en un seul volume.
Si ce recueil devait paraître, j'en serai sans aucun doute. Et si vous lisez La Mort de John Smith, je gage que vous aussi !
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