••• Très prolifique auteur, Donald Westlake a œuvré sous tellement de pseudonymes que c'en était devenu une sorte de marque de fabrique. À chacun d'entre eux correspondait peu ou prou un ton, une ambiance, et parfois des personnages récurrents. Si son terrain de prédilection était le polar (dans son acception la plus large), C'est ça la mort (This is Death/1978) ressort plus du surnaturel. Traduite par Pierre Bondil, cette courte nouvelle a notamment été offerte avec le catalogue 2013 de la maison d'édition Rivages. Un éditeur qui sait prendre soin de ses auteurs et des traductions de leur travail.
Si je propose ci-dessus la quatrième de couverture, et qu'à sa lecture vous me maudissiez de vous avoir déflorer ce dont il retourne, rassurez-vous.
L'essentiel de l'histoire n'est pas dans ce court résumé, mais plutôt dans l'utilisation que fait Donald Westlake de cette situation.
••• Si le suicide n'était pas une chose si grave, et si ceux qui y avaient recours n'étaient pas insensibles à toute forme de raisonnement, je leur donnerais sans aucun doute à lire C'est ça la mort. Pour les autres, la lecture de ces 30 et quelques pages ramassées dans un format « poche » risque de vous faire passer un moment inoubliable. .......
Si je propose ci-dessus la quatrième de couverture, et qu'à sa lecture vous me maudissiez de vous avoir déflorer ce dont il retourne, rassurez-vous.
L'essentiel de l'histoire n'est pas dans ce court résumé, mais plutôt dans l'utilisation que fait Donald Westlake de cette situation.
••• Si le suicide n'était pas une chose si grave, et si ceux qui y avaient recours n'étaient pas insensibles à toute forme de raisonnement, je leur donnerais sans aucun doute à lire C'est ça la mort. Pour les autres, la lecture de ces 30 et quelques pages ramassées dans un format « poche » risque de vous faire passer un moment inoubliable. .......
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